Jean Léturgie a 75 ans.
Les aventures d'un journal #57 (S#1589) in S#3705
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samedi 24 décembre 2022
lundi 24 décembre 2018
Jean par Simon
dimanche 24 décembre 2017
Eigrutel & Léturgie
Jean Léturgie a 70 ans aujourdhui.
Isard, Hugault et Berthet
Di Martino, Pearce et Verron
Luguy, Pearce et Isard
Simon Léturgie
Isard, Hugault et Berthet
Di Martino, Pearce et Verron
Luguy, Pearce et Isard
Simon Léturgie
on y cause de
Berthet,
Di Martino,
Hugault,
Isard,
Léturgie,
Léturgie J.,
Luguy,
Pearce,
Verron
mardi 24 décembre 2013
C'est la fête !
jeudi 26 juillet 2012
Eigrutel rejoue Tatsoin
samedi 26 mai 2012
Yann par Simon
J'avais déjà montré Yann chez Léturgie. Aujourdhu'i, j'écluse mon stock d'images.
Viocq mic mac
J'adore toujours autant Léturgie. Je lui pardonne même son horreur de Gastoon. Un truc qu'il n'aurait jamais du perdre son temps à dessiner. Un machin à mettre dans le même sac que le désespérant Kid marsu. Que fiche Conrad là dedans !!! Tiens, on voit sur l'image précédente que Simon pille Les innommables... Je crois qu'il n'y a rien à piller dans ce dernier boulot là.
Yann par Simon Léturgie
J'ai des toujours quelques réserves sur Yann. Et de son utilisation exagérée de la documentation (que Simon met en exergue dans Vioq mic mac, que vous avez vu si vous n'avez pas oublié de cliquer sur l'image ad-hoc). Ce que j'aime chez Yann, ce sont ses dessinateurs. Et quand ils le quittent, ils font n'importe quoi (Conrad : Kid marsu donc, Herval avec Crisse !).
Spirou dream team.
Viocq mic mac
J'adore toujours autant Léturgie. Je lui pardonne même son horreur de Gastoon. Un truc qu'il n'aurait jamais du perdre son temps à dessiner. Un machin à mettre dans le même sac que le désespérant Kid marsu. Que fiche Conrad là dedans !!! Tiens, on voit sur l'image précédente que Simon pille Les innommables... Je crois qu'il n'y a rien à piller dans ce dernier boulot là.
Yann par Simon Léturgie
J'ai des toujours quelques réserves sur Yann. Et de son utilisation exagérée de la documentation (que Simon met en exergue dans Vioq mic mac, que vous avez vu si vous n'avez pas oublié de cliquer sur l'image ad-hoc). Ce que j'aime chez Yann, ce sont ses dessinateurs. Et quand ils le quittent, ils font n'importe quoi (Conrad : Kid marsu donc, Herval avec Crisse !).
Spirou dream team.
dimanche 28 août 2011
Gas-trop
Dès son annonce, bien avant sa parution, ce bouquin était dézingué ! Et moi, les gardiens du temple, je supporte pas ça. D'autant que l'équipe de Gastoon est une équipe bien connue, qui a réalisé des séries sympathiques.
Outre Polstar, réalisée par les Léturgie père et fils (dont on attend vraiment une suite !), ce trio réalisa Spoon & White, série inégale mais plutôt drôle et très référencée (que je me demande si je l'aime pour ce qu'elle est ou parce que j'y glane des clins d’œil à foison).
Spoon, Yann et Jean Léturgie
Franquin kidnappa le marsupilami pour lui tout seul. Que serait-il advenu de Spirou si Jijé avait fait de même avec Fantasio ?? Il laissa Spirou et Fantasio orphelins de cette bête invincible (et horripilante) pour en faire des BD éditées chez Marsu productions, d'où sort Gastoon. Ce neveu de Gaston a été créé par Franquin pour des histoires de pub. On est en plein dans des histoires de fric !! Mais c'est ça aussi la BD. Mais là, on est chez Picsou !
Franquin
L'univers de Franquin est un peu repris dans l'album... pour nous faire croire qu'on lit encore du Gaston !
Marsu, Petit Noël, la mouette de Gaston et son Gaffophone
Et l'univers du journal Spirou, pour nous rappeler qu'il y est né !
Jijé, Schtroumpf, Will et Benoit Brisefer
Mais on y est loin ! En plus, j'ai eu l'occasion de m'y replonger pendant mes vacances : Gaston est super drôle ! Ici, je n'ai pas tellement rit... alors que (je le rappelle) je suis plutôt amateur de Simon Léturgie (j'ai toutes ses BD), un peu de Jean (en particulier celle réalisée il y a longtemps avec Isard) et de temps en temps de Yann (il oscille entre le très bon et le très très moyen). Ce principe de reprise est un piège à lecteur, un attrape gogo, un truc limite putassier.
Voila, je suis très déçu de cette lecture, bien en dessous de Franquin. Je suis pas loin de rejoindre la secte des gardiens du temple ! Bon sang, arrêtez de reprendre des héros ! Faites vos BD avec vos histoires !!
Coté clins d’œil, on lorgne un peu ailleurs que Spirou, chez tintin avec Macherot (qui transfugea plus tard chez Spirou) :
Chlorophyle
et avec des trucs plus actuels :
Sardine, Lou, Joe bar et Petit vampire
dont deux machins de Sfar... qui envahi vraiment tout donc, jusqu'à l'indigestion ! Pour éviter des critiques (comme celle dont le bougre s'était fendu à propos du Groom vert-de-gris ?).
Outre Polstar, réalisée par les Léturgie père et fils (dont on attend vraiment une suite !), ce trio réalisa Spoon & White, série inégale mais plutôt drôle et très référencée (que je me demande si je l'aime pour ce qu'elle est ou parce que j'y glane des clins d’œil à foison).
Spoon, Yann et Jean Léturgie
Franquin kidnappa le marsupilami pour lui tout seul. Que serait-il advenu de Spirou si Jijé avait fait de même avec Fantasio ?? Il laissa Spirou et Fantasio orphelins de cette bête invincible (et horripilante) pour en faire des BD éditées chez Marsu productions, d'où sort Gastoon. Ce neveu de Gaston a été créé par Franquin pour des histoires de pub. On est en plein dans des histoires de fric !! Mais c'est ça aussi la BD. Mais là, on est chez Picsou !
Franquin
L'univers de Franquin est un peu repris dans l'album... pour nous faire croire qu'on lit encore du Gaston !
Marsu, Petit Noël, la mouette de Gaston et son Gaffophone
Et l'univers du journal Spirou, pour nous rappeler qu'il y est né !
Jijé, Schtroumpf, Will et Benoit Brisefer
Mais on y est loin ! En plus, j'ai eu l'occasion de m'y replonger pendant mes vacances : Gaston est super drôle ! Ici, je n'ai pas tellement rit... alors que (je le rappelle) je suis plutôt amateur de Simon Léturgie (j'ai toutes ses BD), un peu de Jean (en particulier celle réalisée il y a longtemps avec Isard) et de temps en temps de Yann (il oscille entre le très bon et le très très moyen). Ce principe de reprise est un piège à lecteur, un attrape gogo, un truc limite putassier.
Voila, je suis très déçu de cette lecture, bien en dessous de Franquin. Je suis pas loin de rejoindre la secte des gardiens du temple ! Bon sang, arrêtez de reprendre des héros ! Faites vos BD avec vos histoires !!
Coté clins d’œil, on lorgne un peu ailleurs que Spirou, chez tintin avec Macherot (qui transfugea plus tard chez Spirou) :
Chlorophyle
et avec des trucs plus actuels :
Sardine, Lou, Joe bar et Petit vampire
dont deux machins de Sfar... qui envahi vraiment tout donc, jusqu'à l'indigestion ! Pour éviter des critiques (comme celle dont le bougre s'était fendu à propos du Groom vert-de-gris ?).
lundi 11 octobre 2010
Lost
Alors bien sûr il n'y a plus Yann dans l'aventure Spoon et White. Je pensais que c'est lui qui refourguait ses jeux de mots pourris, ses dialogues fort-à propos... Bé non. Jean Léturgie se fait rare au scénario, au contraire de Yann, qui erre parfois avec des auteurs de seconde zone (j'ai failli me faire abuser par la couverture Meyerienne de son XIII parallèle) et dont on flingue quelques bonnes série (Tiffany tiens). Je regrette que l'album colle trop à la série télé, et est un peu coincé dans la référence à tout prix. Ce qu'on avait moins avec Yann, vu qu'il essayait de refourguer ses doc.
Simon se dessine à plusieurs reprise, survivant au crash... mais pas son père !!
J'adore les minettes de Léturgie, qui penchent parfois du coté de Conrad.
Simon et Jean Léturgie : Neverland
Jean tout seul au scénario, ça rend le retour de Polstar possible (c'est annoncé dans le coin d'une case de la première planche), et ce serait une excellente nouvelle.
Simon se dessine à plusieurs reprise, survivant au crash... mais pas son père !!
J'adore les minettes de Léturgie, qui penchent parfois du coté de Conrad.
Simon et Jean Léturgie : Neverland
Jean tout seul au scénario, ça rend le retour de Polstar possible (c'est annoncé dans le coin d'une case de la première planche), et ce serait une excellente nouvelle.
dimanche 26 juillet 2009
L'arroseur arrosé
Simon est un maître cligneur.
Mais on le retrouve tout de même dans quelques images...
Le contrat Polstar
Oui, je sais ce que vous allez me dire : c'est Simon lui-même qui se dessine. Oui mais c'est son scénariste de père qui en est à l'origine. Cette apparition est nécessaire au scénario. C'est un clin de Jean à Simon.
Ici aussi, on reste dans l'univers du créateur... Yann est scénariste de Yoni et de Spoon et White. Mais Courtney a été graphiquement créé par Simon.
Yoni #1 p15 et #2 p09
Léturgie et Yann : Spirou dream Team
Di Martino dessine Spoon, dans une histoire des Léturgies...
et le clin d’œil de Maester, on l'a déjà vu... Ils se ressemblent un peu, ces deux là, dont les doigts fourmillent et éparpillent les clins d'yeux intra-BD, de référence au cinéma...
Mais on le retrouve tout de même dans quelques images...
Le contrat Polstar
Oui, je sais ce que vous allez me dire : c'est Simon lui-même qui se dessine. Oui mais c'est son scénariste de père qui en est à l'origine. Cette apparition est nécessaire au scénario. C'est un clin de Jean à Simon.
Ici aussi, on reste dans l'univers du créateur... Yann est scénariste de Yoni et de Spoon et White. Mais Courtney a été graphiquement créé par Simon.
Yoni #1 p15 et #2 p09
Léturgie et Yann : Spirou dream Team
Di Martino dessine Spoon, dans une histoire des Léturgies...
et le clin d’œil de Maester, on l'a déjà vu... Ils se ressemblent un peu, ces deux là, dont les doigts fourmillent et éparpillent les clins d'yeux intra-BD, de référence au cinéma...
on y cause de
Berthet,
Di Martino,
dso,
isd,
Léturgie,
Léturgie J.,
Maester,
Yann
mercredi 24 juin 2009
Les aventures de John Eigrutel
"Squad et Berd'ach" est le pseudo de Simon et Jean, à leurs débuts. On trouve ces signatures sur Tatsoin, et comme colorisationneurs des différentes séries du duo père-fils.
Le contrat Bob Steel p14
Simon dessine son papa scénariste... tout le temps...
Vioq micmac
Vioq Mic mac est un petit album, sorti au moment du Spoon et White #3 (Niacq mic mac), expliquant la façon de travailler du trio. C'est très second degré, assez drôle, très instructif. Un beau petit livret des éditions Eigrutel. Qui existe donc encore, pour sortir ces petits trucs hyper chers...
61 an et demi, bon sang, ça se fête !
Le contrat Bob Steel p14
Simon dessine son papa scénariste... tout le temps...
Vioq micmac
Vioq Mic mac est un petit album, sorti au moment du Spoon et White #3 (Niacq mic mac), expliquant la façon de travailler du trio. C'est très second degré, assez drôle, très instructif. Un beau petit livret des éditions Eigrutel. Qui existe donc encore, pour sortir ces petits trucs hyper chers...
61 an et demi, bon sang, ça se fête !
samedi 6 juin 2009
Le paradis, il n'y a pas que cela dans la vie
Paulette, comme Blanche Epiphanie, est la fille de Pichard...
Je disais que Pichard fut un maitre, bien sûr, j'avais cette image derrière la tête : celle du vieux monsieur au dessus de l'épaule du futur David B.
Et puis, comme d'hab, une fournée de clins pas sûrs... Tintin qui tripote un blonde généreuse ?? Un presque homonyme serait le Mérou de Polstar ???
Et Sfar, pasque je suis bien obligé...
Sans oublier Tardi avec Le petit bleu de la cote ouest, mais je n'ai pas l'image du journal, où on peut lire "le retour de Blanche Epiphanie"...
Mais c'est pas possible qu'on en soit arrivé à oublier Vern, Pichard et compagnie !
Je disais que Pichard fut un maitre, bien sûr, j'avais cette image derrière la tête : celle du vieux monsieur au dessus de l'épaule du futur David B.
Et puis, comme d'hab, une fournée de clins pas sûrs... Tintin qui tripote un blonde généreuse ?? Un presque homonyme serait le Mérou de Polstar ???
Et Sfar, pasque je suis bien obligé...
Sans oublier Tardi avec Le petit bleu de la cote ouest, mais je n'ai pas l'image du journal, où on peut lire "le retour de Blanche Epiphanie"...
Mais c'est pas possible qu'on en soit arrivé à oublier Vern, Pichard et compagnie !
lundi 20 avril 2009
Nuits brûlantes sur papier glacé*
Honte à moi, je n'ai pas les clins d’œil de sa chérie à son chéri. Pourtant, j'en ai repéré un sûr : dans Les eaux blessées (une BD de commande européenne, que j'ai refourguée à mon bouquiniste), Dominique David glisse dans un journal "une affaire Berthet" (p21). Dans Lipstick, mais là, je ne me souviens plus bien, il y a une sorte de Berthet (#2 pl33).
Bon, revenons aux clins d'yeux en image.
Berthet est reconnaissable à son grain de beauté :
Ce qui permettra par la suite, de le deviner mieux...
Andréas fut un de ses colloc, avec Cossu et Foertser :
On doit à Andréas le scénario de deux petites histoires de saison pour Berthet, qui préféra travailler avec les deux autres.
Quand il a arrêté Le privé d'Hollywood, Berthet est venu trouver Yann, en quête d'histoire. Yann, amateur de filles de magazine et de fantasme de papier, avait (entre autre) un stock de doc sur la guerre du pacifique. Ainsi est née Pin-Up :
Yann aimait la rigueur de son travail de reconstitution, l'élégance de son trait et sa super lisibilité... Berthet est tout ça, et avec un Yann au mieux de sa forme, nous avons là un duo de tonnerre... sur le pacifique...
Bon, revenons aux clins d'yeux en image.
Berthet est reconnaissable à son grain de beauté :
Ce qui permettra par la suite, de le deviner mieux...
Andréas fut un de ses colloc, avec Cossu et Foertser :
On doit à Andréas le scénario de deux petites histoires de saison pour Berthet, qui préféra travailler avec les deux autres.
Quand il a arrêté Le privé d'Hollywood, Berthet est venu trouver Yann, en quête d'histoire. Yann, amateur de filles de magazine et de fantasme de papier, avait (entre autre) un stock de doc sur la guerre du pacifique. Ainsi est née Pin-Up :
Yann aimait la rigueur de son travail de reconstitution, l'élégance de son trait et sa super lisibilité... Berthet est tout ça, et avec un Yann au mieux de sa forme, nous avons là un duo de tonnerre... sur le pacifique...
dimanche 15 février 2009
Clin d'oeil du recoin
Frank Isard, auteur très ligne claire d'un seul album (Bob Steel : L’œil du requin) est devenu l'ombre de Simon Léturgie sur Spoon et White. Alors qu'il mérite autant de lumière. Et son album était vraiment plein de qualités...
Les Léturgie le prennent pour héros :
Le contrat Bob Steel p17
Et Simon baptise des rues de New-York :
Spoon et White #4 p3 et p30
Les Léturgie le prennent pour héros :
Le contrat Bob Steel p17
Et Simon baptise des rues de New-York :
Spoon et White #4 p3 et p30
mercredi 24 décembre 2008
Le contrat Eigrutel
Dans le #1 de Pin Up, des excellents Berthet et Yann, un officier de la propagande s'appelle Eigrutel... Mon sang n'a fait qu'un tour. Habitué aux déchiffrages des BD d'Andréas, ce nom
qui m'a semblé bizarre, je l'ai inversé, et... Voila, je connaissais ce nom sans avoir rien lu
que Percevan (le quête des clins d’œil n'est pas qu'une partie de plaisir) et des articles dans Les cahiers de la bande dessinée (sur Charlier, Jijé, Will... avant
l'arrivée du "brillant" Groensteen). J'ai découvert
bien plus tard que le personnage avait les traits du vrai Jean Léturgie, et que Eigrutel était une marque
déposée...
Jean Léturgie y a édité les BD qu'il a scénarisé pour son fils Simon (la série sans pitié Polstar, Tatsoin) et un "un-coup" pour Isard, le sympathique Bob Steel. Et ces deux petits OVNI :
Le contrat Bob Steel p12, Le contrat Polstar p1
Malheureusement, l'édition n'est pas aussi simple que ça, faut de la trésorerie, un distributeur... Eigrutel ferme ses portes :
Odilon Verjus #6 p34
Verron, en compagnie de Yann (complice de Léturgie) lui rend un dernier hommage (en 2002).
Et dans Cotton Kid, qu'il scénarise avec Yann (moitié de Pearce), on sent sa détresse immense :
Cotton Kid #2 p13, Pin-up #2 p13
Cet album parait en 2000, et le dernier Polstar a paru l'année précédente. Eigrutel n'est pas vraiment mort, puisqu'on nous sert épisodiquement une tournée de Tekila... et divers projets sont en cours (de ne pas paraitre)...
Jean Léturgie y a édité les BD qu'il a scénarisé pour son fils Simon (la série sans pitié Polstar, Tatsoin) et un "un-coup" pour Isard, le sympathique Bob Steel. Et ces deux petits OVNI :
Le contrat Bob Steel p12, Le contrat Polstar p1
Malheureusement, l'édition n'est pas aussi simple que ça, faut de la trésorerie, un distributeur... Eigrutel ferme ses portes :
Odilon Verjus #6 p34
Verron, en compagnie de Yann (complice de Léturgie) lui rend un dernier hommage (en 2002).
Et dans Cotton Kid, qu'il scénarise avec Yann (moitié de Pearce), on sent sa détresse immense :
Cotton Kid #2 p13, Pin-up #2 p13
Cet album parait en 2000, et le dernier Polstar a paru l'année précédente. Eigrutel n'est pas vraiment mort, puisqu'on nous sert épisodiquement une tournée de Tekila... et divers projets sont en cours (de ne pas paraitre)...
samedi 12 janvier 2008
Lectures de janvier -2
Giraud m'a relancé sur la piste de Mac Lane, enfin, Fly, Rowland, bref. Les tomes 16 et 17 de XIII, avec des couvertures mal dessinées, des personnages vu de face, comme d'hab'. Si,
parfois, Vance dessine des profils. Bon.
- Le #16 : On retrouve Félicity ici (arrivée dans le tome précédent sans doute) et c'est une coïncidence inutile. Elle ne sert à rien, juste recycler les personnages, comme Van Hamme aime à le faire (il en abuse sur certains Thorgal), pour nous faire sentir qu'on est dans son petit monde, malheureusement sans âme... Vance dessine comme un pied : m'enfin, lorsque cette vilaine crache sur le brave capitaine, il n'y a rien ! pas de mouvement, pas de sentiments... Et Van Hamme nous sert des lieux communs à foison (quel scénariste de bas étage oserait encore faire évader une femme de cette façon, en utilisant ses charmes face à un garde aussi naïf ?).
- Le #17 : Felicity s'échappe encore !! Chez Van Hamme : on s'évade toujours d'une prison, et tout le temps, faudrait faire le compte des évasions dans la série... C'est pénible ! C'est parce que Van Hamme a tellement de mal avec ses rebondissements, qu'il nous ressert toujours le même... Et qu'il a du mal à se séparer d'un méchant (ben fallait pas le faire prisonnier !). Vance ne s'embête pas des décors : Mexico est torché en 2 secondes. Vance ne s'embête pas à dessiner des choses crédibles : il place sur une case tous les personnages de l’hôtel face à la carte étalée sur la table... invisible pour certains, mais c'est pas grave : on a tout nos personnage, en ligne, vus de face !!! Et l'attitude de Betty, quand elle se casse la figure sur "La cabeza", qui y croit ? Et cette "Cabeza" ? Van Hamme fait du Duchateau ! On se croirait dans Ric Hochet ! En tout cas, les méchants ont bien une tête de méchant. Comme ça on comprend bien.
-Le #19 : Ben, je l'ai lu à la bibliothèque. Et J'arrête de me répéter. Pour simplifier, Vance dessine mal (quand on espère que dessiner nous entraine dans le mouvement, à travers des émotions) et le fond du scénario de Van Hamme (je ne parle pas de l'histoire) est pauvre, les dialogues sonnent faux (Danny au début de ce tome est censé dialoguer avec le journaliste, il est un prétexte pour résumer l'histoire pour nous pauvres lecteurs, mais parle comme un pavé de récitatif), les coïncidences (Jessica sauve Giardino in extremis !!!) montrent les faiblesses de Van Hamme !!!
C'est nul. OK papa : JE trouve ça nul !! Mais alors nullissime que je suis hors de moi... Nâm Yo o Renge KYOOoooO... Mmmf... Bon.
4/20
- Le #16 : On retrouve Félicity ici (arrivée dans le tome précédent sans doute) et c'est une coïncidence inutile. Elle ne sert à rien, juste recycler les personnages, comme Van Hamme aime à le faire (il en abuse sur certains Thorgal), pour nous faire sentir qu'on est dans son petit monde, malheureusement sans âme... Vance dessine comme un pied : m'enfin, lorsque cette vilaine crache sur le brave capitaine, il n'y a rien ! pas de mouvement, pas de sentiments... Et Van Hamme nous sert des lieux communs à foison (quel scénariste de bas étage oserait encore faire évader une femme de cette façon, en utilisant ses charmes face à un garde aussi naïf ?).
- Le #17 : Felicity s'échappe encore !! Chez Van Hamme : on s'évade toujours d'une prison, et tout le temps, faudrait faire le compte des évasions dans la série... C'est pénible ! C'est parce que Van Hamme a tellement de mal avec ses rebondissements, qu'il nous ressert toujours le même... Et qu'il a du mal à se séparer d'un méchant (ben fallait pas le faire prisonnier !). Vance ne s'embête pas des décors : Mexico est torché en 2 secondes. Vance ne s'embête pas à dessiner des choses crédibles : il place sur une case tous les personnages de l’hôtel face à la carte étalée sur la table... invisible pour certains, mais c'est pas grave : on a tout nos personnage, en ligne, vus de face !!! Et l'attitude de Betty, quand elle se casse la figure sur "La cabeza", qui y croit ? Et cette "Cabeza" ? Van Hamme fait du Duchateau ! On se croirait dans Ric Hochet ! En tout cas, les méchants ont bien une tête de méchant. Comme ça on comprend bien.
-Le #19 : Ben, je l'ai lu à la bibliothèque. Et J'arrête de me répéter. Pour simplifier, Vance dessine mal (quand on espère que dessiner nous entraine dans le mouvement, à travers des émotions) et le fond du scénario de Van Hamme (je ne parle pas de l'histoire) est pauvre, les dialogues sonnent faux (Danny au début de ce tome est censé dialoguer avec le journaliste, il est un prétexte pour résumer l'histoire pour nous pauvres lecteurs, mais parle comme un pavé de récitatif), les coïncidences (Jessica sauve Giardino in extremis !!!) montrent les faiblesses de Van Hamme !!!
C'est nul. OK papa : JE trouve ça nul !! Mais alors nullissime que je suis hors de moi... Nâm Yo o Renge KYOOoooO... Mmmf... Bon.
4/20
J'ai trouvé une BD des bordelais Chan et Sala, découverts à l'expo Bord'images, fin décembre. Cross fire !!C'est chez Soleil, l'éditeur pas trop regardant, qui veut inonder le marché
avec des milliers de titres, sans forcément les suivre, juste pour occuper la place. En plus, c'est dans la collection Soleil levant, où on trouve des auteurs inspirés fortement
du shonen.
Premières impressions : y a du punch, les couleurs ordinateur sont laides. Puis, du réalisme graphique, on bascule dans la stupidité manga-Dragonball. La gamine pleure à chaudes larmes à l'instant où la moto de son compagnon explose, alors qu'elle essaye elle aussi d'éviter les missiles de l'hélico. La bonne soeur verse des larmes aussi du tac au tac en se remémorant ce compagnon disparu. Le beau gosse verse une goutte de sueur, la gamine tire la langue : on est dans Dragonball j'vous dit ! Je n'y arrive vraiment pas avec les couleurs à l'ordi. Et les impressions de mouvement données par le flou, à l'ordi toujours, sont horribles !! On peut tellement faire sans et bien. La crédibilité est mise vraiment à mal... Très décevant !
4/20
J'ai bien aimé les 2 premiers Luka, enfin, le clin d'oeil à Cosey m'avait mis dans un état second... Le style de Mezzomo est assez proche de celui d'Hermann, et j'avais l'impression qu'il s'était dégradé avec le #3, mais il semble redevenu correct ici. Nos héros sont pris au coeur d'une tourmente politico-mafieuse, avec le milieu du foot en toile de fond, et Sidney Bristow en guest star. C'est sans plus. C'est du Largo Winch, pour rester copain avec Van Hamme.
10/20
Premières impressions : y a du punch, les couleurs ordinateur sont laides. Puis, du réalisme graphique, on bascule dans la stupidité manga-Dragonball. La gamine pleure à chaudes larmes à l'instant où la moto de son compagnon explose, alors qu'elle essaye elle aussi d'éviter les missiles de l'hélico. La bonne soeur verse des larmes aussi du tac au tac en se remémorant ce compagnon disparu. Le beau gosse verse une goutte de sueur, la gamine tire la langue : on est dans Dragonball j'vous dit ! Je n'y arrive vraiment pas avec les couleurs à l'ordi. Et les impressions de mouvement données par le flou, à l'ordi toujours, sont horribles !! On peut tellement faire sans et bien. La crédibilité est mise vraiment à mal... Très décevant !
4/20
J'ai bien aimé les 2 premiers Luka, enfin, le clin d'oeil à Cosey m'avait mis dans un état second... Le style de Mezzomo est assez proche de celui d'Hermann, et j'avais l'impression qu'il s'était dégradé avec le #3, mais il semble redevenu correct ici. Nos héros sont pris au coeur d'une tourmente politico-mafieuse, avec le milieu du foot en toile de fond, et Sidney Bristow en guest star. C'est sans plus. C'est du Largo Winch, pour rester copain avec Van Hamme.
10/20
Biotope se poursuit en pleine forêt. Les écolos extrémistes s'opposent aux gentils verts, après s'être ensemble opposés aux méchants terriens dans le #1. Je suis un peu déçu de cette suite,
d'abord parce que j'avais été hyper emballé par ce #1, et puis on sent qu'on va vite tourner en rond, dans cette planète-forêt se désertifiant...
11/20
11/20
Bébert le cancrelat est une petite BD sans prétention, que j'ai lu sur internet (c'est nul : vive le papier !!). On retrouve le dessin très classique de Conrad, et le style - sans pitié
- de Yann.
10/20
Dans la même école que les précédents, on trouve les Léturgie, et Simon, digne héritier de Conrad. Le contrat Bob Steel fait suite au Contrat Polstar où Simon était le héros. Ici, c'est Frank Isard que Jean Léturgie essaye de ruiner pour qu'il retourne au boulot... C'est court, drôle, sans prétention... Et ça annonce L'oeil du Requin, livre unique d'Isard, scénarisé par Jean, très bon bouquin, très prometteur... et pourtant, Isard n'a rien fait depuis !!!!
11/20
10/20
Dans la même école que les précédents, on trouve les Léturgie, et Simon, digne héritier de Conrad. Le contrat Bob Steel fait suite au Contrat Polstar où Simon était le héros. Ici, c'est Frank Isard que Jean Léturgie essaye de ruiner pour qu'il retourne au boulot... C'est court, drôle, sans prétention... Et ça annonce L'oeil du Requin, livre unique d'Isard, scénarisé par Jean, très bon bouquin, très prometteur... et pourtant, Isard n'a rien fait depuis !!!!
11/20
dimanche 25 novembre 2007
Vioq Mic Mac
Au début de Niacq-Mic-Mac, Spoon et White se rendent à l'aéroport. On y rencontre le vieux routard avec son sac à dos planète, un gros moustachu que je sais pas qui c'est, mais qu'on rencontre souvent chez Léturgie...
vendredi 2 mars 2007
Manhattan Kaputt
Bonne nouvelle ! Le tome 7 de Spoon et White vient de paraitre ! Mais ! Simon est aidé de Isard, et c'est plutôt une bonne nouvelle (Isard est l'auteur d'une unique BD il y a plus de 10 ans). Mais (j'y arrive donc) pas d'Yann aux cotés de Jean !! Même si Yann me désole depuis quelques années, il apporte une pointe d'humour, des références culturelles et des blagues un peu lourdes dans un gant de velour. Et le résultat est ce que je craignais : très très décevant. Même le dessin. Des décors torchés ou inexistants, tout est vite fait, et du coup vite lu (tant mieux, c'est nul).
on y cause de
Carrère,
Dab's,
Gazzotti,
Groening,
Isard,
isd,
Léturgie,
Léturgie J.,
Loïs,
Peyo,
Roba,
Vents d'ouest,
Yann
lundi 20 novembre 2006
De Kuyssche (78-82)
De Kuyssche est une transition importante pour le journal. Les poids lourds s’essoufflent, et les jeunes loups montrent les crocs. Enfin, ceux qui s’essoufflent, avaient déjà des petits poumons. Yoko Tsuno, Génial Olivier, Papyrus... ça n'a jamais été terrible (vache ! chuis gentil moi auj'ourdhui !). La nouvelle garde arrive, et heureusement. Geerts, Le Gall, Yann & Conrad...
On voit sous son reigne, le Spirou de Fournier, et l'arrivée de Nic, dont il scénarise en 1980 Le fantacoptère solaire (repris dans le HS #4). Pas la meilleure époque de Spirou (le héros, pas le journal).
Dans-8-mois dans l'enfer des hauts de page, (parus dans Spirou 2226, fin 80, jusqu'en en août 81) le glossaire donne :
Alain De Kuyssche : actuel rédacteur en chef de Spirou, ancien journaliste. Ancien lecteur nostalgique du journal tintin.
Hardy et Yann : Lolo et Sucette #5 p36 et Pearce et Léturgie : Cotton Kid #4 p27
Les clins que j'ai répertorié, hormi les hauts de page, ne proviennent pas de la période où il dirigeait le journal.
Léturgie et Yann dans Spirou #3653 (2008)
Yann raconte, comme il l'avait fait en 86 sous le trait de Chaland, les mouvements actuels chez Spirou, avec Léturgie (Conrad voulait pas, et Tarrin est trop cher !). En effet, Niffle (le paon bleu) prend la suite, accompagné de De Kuyssche, qui refait son grand retour !!
Niffle est (était ?) éditeur de bouquin sur la BD. J'ai deux ouvrages de Dayez : Peyo l'enchanteur et La nouvelle bande-dessinée, et Les éditeurs de Bellefroid. Niffle a ses racines chez Dupuis, et est semble-t-il tourné vers la nouvelle (plus si nouvelle que ça, mais bon, depuis y a rien eu !!) BD : on lui doit le retour des mini-récits avec Trondheim (le summum de la fusion entre les deux époques !!!).
Etonnament, De Kuyssche est un grand amateur de Jacques Martin, figure illustre de l'autre coté...
On voit sous son reigne, le Spirou de Fournier, et l'arrivée de Nic, dont il scénarise en 1980 Le fantacoptère solaire (repris dans le HS #4). Pas la meilleure époque de Spirou (le héros, pas le journal).
Dans-8-mois dans l'enfer des hauts de page, (parus dans Spirou 2226, fin 80, jusqu'en en août 81) le glossaire donne :
Alain De Kuyssche : actuel rédacteur en chef de Spirou, ancien journaliste. Ancien lecteur nostalgique du journal tintin.
Hardy et Yann : Lolo et Sucette #5 p36 et Pearce et Léturgie : Cotton Kid #4 p27
Les clins que j'ai répertorié, hormi les hauts de page, ne proviennent pas de la période où il dirigeait le journal.
Léturgie et Yann dans Spirou #3653 (2008)
Yann raconte, comme il l'avait fait en 86 sous le trait de Chaland, les mouvements actuels chez Spirou, avec Léturgie (Conrad voulait pas, et Tarrin est trop cher !). En effet, Niffle (le paon bleu) prend la suite, accompagné de De Kuyssche, qui refait son grand retour !!
Niffle est (était ?) éditeur de bouquin sur la BD. J'ai deux ouvrages de Dayez : Peyo l'enchanteur et La nouvelle bande-dessinée, et Les éditeurs de Bellefroid. Niffle a ses racines chez Dupuis, et est semble-t-il tourné vers la nouvelle (plus si nouvelle que ça, mais bon, depuis y a rien eu !!) BD : on lui doit le retour des mini-récits avec Trondheim (le summum de la fusion entre les deux époques !!!).
Etonnament, De Kuyssche est un grand amateur de Jacques Martin, figure illustre de l'autre coté...
on y cause de
Conrad,
De Kuyssche,
Hardy,
Léturgie,
Léturgie J.,
Pearce,
Yann
lundi 25 septembre 2006
Simon cligne comme un malade
Simon Léturgie est le fils de Jean, journaliste (aux cahiers de la BD) et scénariste. Son dessin est dans la mouvance des héritiers de Morris (Conrad). Il a réalisé en 96, Polstar (aux éditions paternelles Eigrutel), une série Trash, assez dure, notamment parceque ce style de dessin n'illustre jamais de récit où la mort est violente. Toujours avec son père, qui s'est adjoint Yann Lepennetier (alias Balac ou plus simplement Yann) au scénario, il réalise Spoon et White chez Dupuis (trop violent pour rester dans Spirou). C'est une série très drôle, où Yann est au mieux dans les dialogues. Simon a dessiné Tatsoin, sur le même principe que Dans la joie jusqu'au cou d'Alexis. Et des petits ouvrages : Viocq Mic Mac (racontant la genèse de Niacq Mic Mac), Le contrat Polstar (un bonus de la série)... et récemment Space Cake, où on suit les errances d'un navire spacial, ayant malencontreusement anéanti la Terre (en voulant rendre service au père Noël).
Ses livres sont garnis de clins d'oeil. Notamment au cinéma d'action américain (du genre avec Bruce Willis ou Mel Gibbson). Dans le road-comics A gore et à cris, Spoon s'arrête dans le motel de Psychose, tenu par Norman Bates-Anthony Perkins. On assiste au meurtre de Marion Crane-Janet Leigh dans les WC, la douche étant occupée par Hitchcock. Lors de l'aventure en perfide Albion, il est question des agents 00, victimes d'une élimination systématique. Il place également Wallace et Gromit, 2D, Noodle... des Gorillaz, tous sujets de sa gracieuse majesté... Yann place lui des références très pointues à la littérature, à l'actualité...
Le talent de Léturgie, est de transformer légèrement certains personnages connus, ou secondaires, et de les placer ça et la dans le décor...
Les petits asiatiques sont des cousins de Coton Kid, Tony (d'Alberto), Titeuf et Boule (de Bill). Les ptits black sont les fréres de la bande à Titeuf...
Il lui arrive de prendre les personnages d'autres BD, tels quels, avec quelques adaptations...
Les voyous de la Ribambelle deviennent des ptits délinquants. On voit sur la première image un tag "Roba", et sur une autre image de l'album, un tag de Bill. Un de leur fournisseur est Larry Bambel ! Les gentils de la Ribambelle sont représenté par leur disciple brittanique, qu'on aperçoit dans Spoon finger. En prison, Spoon retrouve Max Faccioni de Goffaux et Archie Cash (image 2) de Malik. Sur le bateau, un des passager est André Papignolles alias Libellule. Dans XXL, parmi la foule de gros, Obelix porte un tatouage "Albert", son créateur, et un petit chien obèse (Idefix ?).
Uderzo est représenté un peu plus loin dans XXL avec Oumpapah, son 1er héros. La baffe suivante est Obelixienne, et le repas des aliens de Space Cake très gaulois.
Simon se dessine très souvent, ainsi que Yann, Jean et Isard qui l'assiste sur les dessins. On retrouve le père et le fils dans une boîte de nuit de Space Cake et en aliens dans le buffet gaulois. Dans Tatsoin, ils sont spectateurs du show (après Tintin et cie, Spirou et Fantasio, Lolo et Sucette...). Dans le # 4 de Spoon & White, ils sont dans la rue, en face de la morgue, où les policiers emmène un clochard mort (Yann) et où Isard est sur le billard. Dans le #2, il y a quelques tags "Eigrutel" et "Balac". On pourra voir dans le #5, en arrière plan, sur 4 cases qui se suivent : Simon, Jean, Yann et Isard.
Plus de clins d'oeil ici et là.
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