J'aurai pu aller à Nérac aujourdhui, mais y a les gauchistes de France inter qui enregistrent à Bordeaux en fin d'aprem, et Phil & Christelle ne m'auraient jamais ramené à temps.
Et puis, c'est quoi "Nérac" finalement ? Olivier Schwartz n'y sera jamais invité, j'ai découvert hier soir que Christian Durieux ne l'a jamais été... Laissons-y mourir les vieux de la ligne morte.
La tradition des hommages dessinés à l'auteur invité a disparue ! Elle mêlait ses portraits ou ses personnages avec le jeune Albert, icône du festival. En voici une trace :
par Deloupy
dimanche 1 octobre 2023
La leçon du jour
France inter indique que Manara dessine Barbarella comme personne. Alors : non. Déjà y a Jean-Claude Forest. Et puis Daniel Billon... et puis des milliers d'autres auteurs moins frontaux, plus subtiles - et c'est pas dur - que Manara.
Et faut pas déconner : il dessine quand même la même femme depuis 50 ans
par Manara
Il ne nous explique pas comment, juste pourquoi... et c'est pas intéressant du tout (bâché et rabâché).
Pas merci France inter.
Et faut pas déconner : il dessine quand même la même femme depuis 50 ans
par Manara
Il ne nous explique pas comment, juste pourquoi... et c'est pas intéressant du tout (bâché et rabâché).
Pas merci France inter.
Lecture #11-2023
Colonnier : Georges & Tchang (2012 - 12bis)
Je m'en faisais un brûlot de ce truc ! Il touchait au mythe, alors forcément, il y a eu un certain déchainement autour de ce livre à sa sortie, que ça ne m'a pas donné envie de le lire. Finalement, même si le dessin manque un peu de clarté, le livre s'installe dans l'Histoire, et ose quelques déviations, dont on devine l'intention. Et moi, j'ai aimé tous les clins d’œil à Tintin, où même aux aventures d'Hergé.
Masson : La dernière femme (2012 - Casterman / écritures)
On suit un genre de vieux con libidineux, accoquiné de son lui jeune naïf et plein d'espoir...sur la trace alphabétique d'une femme... qui finalement aurait pu être un homme. C'est quand même un peu long, avec des tas de redites, et un suspens vite découvert (le jeune, c'est lui tout de suite). Bon, qui a-t-il a en retenir, bin je ne sais pas trop. Qu'il vaut mieux lire ses premiers ouvrages sans doute.
Duchazeau : Le peintre hors-la-loi (2021 - Casterman)
Un genre d'aristo, peintre intransigeant mais bretteur impulsif, fuit Paris après avoir tué sa femme. D'antipathique il termine en faisant un peu pitié, ne s'exprimant qu'avec grandiloquence mais ne disant rien... On croit qu'il sera sauvé par la bonniche, mais elle le précipite dans le gouffre de son ego. Triste à lire.
Starace : Etre montagne (2022 - Sarbacane)
Je ne suis pas du tout rentré dedans. Les dialogues sont à coté, la mise en scène rarement aussi mauvaise... On ne sait pas ce qu'il se passe ni pourquoi (en dehors du récit mystérieux).
Pourtant, je suis sûr qu'il y avait quelque chose à chopper dans ce gros bouquin, dont je n'ai pu aller au bout.
Hyman et Fromental : Une romance anglaise (2022 - Dupuis / Aire libre)
Les couvertures, illustrations d'Hyman sont très classieuses, mais ses BD révèlent des tas de défauts. Quand à l'histoire, la narration, les dialogues, mon dieu, quel ennui.
Dawid et Frey : Monsieur Apothéoz (2022 - Vents d'ouest)
Cette BD m'aura appris que cet éditeur existe toujours.
L'histoire est faite de bouts un peu classiques, le récit est sympathique, le dessin joli, allez, c'est pas mal.
Ruppert et Mulot : La part merveilleuse #3 (2023 - Dargaud)
Ainsi se clos ce fantastique récit fantastique, et ce duo d'auteur jadis épatant. Un moment un peu gnan gnan a failli me gâcher mon plaisir... ce tome est un peu moins bien raconté parce qu'il fallait aller au dur du récit (moins de dialogues, d'intentions, de non-dits), mais voilà : l'histoire se termine tristement... on a tout perdu, sauf l'honneur, mais on a tout perdu.
Je m'en faisais un brûlot de ce truc ! Il touchait au mythe, alors forcément, il y a eu un certain déchainement autour de ce livre à sa sortie, que ça ne m'a pas donné envie de le lire. Finalement, même si le dessin manque un peu de clarté, le livre s'installe dans l'Histoire, et ose quelques déviations, dont on devine l'intention. Et moi, j'ai aimé tous les clins d’œil à Tintin, où même aux aventures d'Hergé.
Masson : La dernière femme (2012 - Casterman / écritures)
On suit un genre de vieux con libidineux, accoquiné de son lui jeune naïf et plein d'espoir...sur la trace alphabétique d'une femme... qui finalement aurait pu être un homme. C'est quand même un peu long, avec des tas de redites, et un suspens vite découvert (le jeune, c'est lui tout de suite). Bon, qui a-t-il a en retenir, bin je ne sais pas trop. Qu'il vaut mieux lire ses premiers ouvrages sans doute.
Duchazeau : Le peintre hors-la-loi (2021 - Casterman)
Un genre d'aristo, peintre intransigeant mais bretteur impulsif, fuit Paris après avoir tué sa femme. D'antipathique il termine en faisant un peu pitié, ne s'exprimant qu'avec grandiloquence mais ne disant rien... On croit qu'il sera sauvé par la bonniche, mais elle le précipite dans le gouffre de son ego. Triste à lire.
Starace : Etre montagne (2022 - Sarbacane)
Je ne suis pas du tout rentré dedans. Les dialogues sont à coté, la mise en scène rarement aussi mauvaise... On ne sait pas ce qu'il se passe ni pourquoi (en dehors du récit mystérieux).
Pourtant, je suis sûr qu'il y avait quelque chose à chopper dans ce gros bouquin, dont je n'ai pu aller au bout.
Hyman et Fromental : Une romance anglaise (2022 - Dupuis / Aire libre)
Les couvertures, illustrations d'Hyman sont très classieuses, mais ses BD révèlent des tas de défauts. Quand à l'histoire, la narration, les dialogues, mon dieu, quel ennui.
Dawid et Frey : Monsieur Apothéoz (2022 - Vents d'ouest)
Cette BD m'aura appris que cet éditeur existe toujours.
L'histoire est faite de bouts un peu classiques, le récit est sympathique, le dessin joli, allez, c'est pas mal.
Ruppert et Mulot : La part merveilleuse #3 (2023 - Dargaud)
Ainsi se clos ce fantastique récit fantastique, et ce duo d'auteur jadis épatant. Un moment un peu gnan gnan a failli me gâcher mon plaisir... ce tome est un peu moins bien raconté parce qu'il fallait aller au dur du récit (moins de dialogues, d'intentions, de non-dits), mais voilà : l'histoire se termine tristement... on a tout perdu, sauf l'honneur, mais on a tout perdu.
Où vas-tu ?
Le film de Mervyn LeRoy parait fin 1951 aux USA, et sort en France le 1er octobre 1953.
Micol et Hui Phang in Black-out
Micol et Hui Phang in Black-out
samedi 30 septembre 2023
L'affiche Ultra-clignante
Plus de 90 personnages ! et blogger ne permet que 20 mot-clés !!!
C'est l'affiche du festival de Lezoux : éruption de héros
par Bruno Duhamel
C'est l'affiche du festival de Lezoux : éruption de héros
par Bruno Duhamel
La vieille ligne claire à Nérac
C'est Fromental l'invité principal, et Jolivet, sa récente dessinatrice, qui a réalisé l'affiche.
Joelle Jolivet pour Nérac 2023
Joelle Jolivet pour Nérac 2023
Blague à part
Alain Goutal a 75 ans.
Coyote, Coutelis, Dany et Faure
Gibrat, Hiettre, Lacaf et Lepage
Lidwine, Lolmède, Maester et Margerin
Plessix et Hiettre, Rabaté, Rodrigue et Sorel
Coyote, Coutelis, Dany et Faure
Gibrat, Hiettre, Lacaf et Lepage
Lidwine, Lolmède, Maester et Margerin
Plessix et Hiettre, Rabaté, Rodrigue et Sorel
vendredi 29 septembre 2023
Capsules de Cyanure
Le privé d'Hollywood
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