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jeudi 21 janvier 2021

Le dessinateur perdu

Philippe Delaby est né il y a 60 ans.

Brazao, Jeremy et Labiano

Libon, Miralles et Marini

Rodrigue, Smudja et Xavier

samedi 16 décembre 2017

Djinn djinn !

On boit un coup pour l'anniv d'Ana Miralles.

Guarnido et Grenson

Rodrigue, Ringenbach et Munuera

vendredi 3 avril 2015

mercredi 11 mars 2009

Lectures de mars

Le héros est un billet... qu'on suit, de main en main. Ca aurait pu être une bonne idée... Mais voila, c'est totalement déshumanisé, et pour cause. C'est une sorte de promenade, sans intérêt. Bon, le dessin de Mirallès se laisse bien regarder, mais vraiment trop classique, dans la lignée de Marini, Reculé... Rien à voir avec Mémoires d'un 38 de Franz, où le héros est un flingue (un 38 mm donc) mais dont on suit plus longtemps chaque possesseur...

Mirallès et Ruiz, Mano en mano
2008 Dargaud
6/20


Pourquoi Cornélius ré-édite Nécron ? 20 ans après Michel Albin, peu connu pour ses productions audacieuses ? Parce que cette BD est tombée dans l'oubli ? et parce que c'est dommage ? Ou alors c'est le coté décalé et désuet, qui colle bien avec le coté branchouille de Cornélius... Mais bon : le dessin est du sous-Manara de maintenant (et c'est dire)... très bouquin de gare, jetable.
Le scénario tiens sur un timbre poste en franc (inutilisable), avec des bonnes grosses éllipses, de bonnes grosses ficelles usées, et de bonnes grosses bites... Des dialogues alibis (comme dans un film porno). Rien ne peut être vrai, et je suis resté à coté de ce machin... me demandant ce qui était passé par la tête de Gauthey... pendant que la maison d'en face ré-édite FOREST...
c'est nullissime !
Magnus, Nécron #4
2008 Cornélius, Paul
3/20

 
On reste en italie. C'est Sicomoro qui a permit la rencontre entre Makyo (La porte au ciel) et Rotundo. Le dessin est donc un classique dessin italien (pour résumer), sans malheureusement beaucoup d'étincelles. Il est bourré d'erreurs de proportions, d'attitudes défiant la gravité, de points de vue moches... Mais à force de photocopier les cases (c'est pas possible ce que j'ai horreur de ça !!), le malheureux en a perdu son coup de crayon. C'est juste qu'on ne sent pas qu'il aime dessiner... Ben moi, j'ai pas aimé le lire.
Coté scénario... trop de coïncidences. Ce premier opus d'une série met en place les personnages, les actions, sans vraiment donner d'épaisseur à cet album-ci. Alors peut-être qu'ensuite, le puzzle s'étoffera... mais en attendant, on est hors de l'histoire.
Mais bon, je ne vais pas perdre mon temps à suivre cette série, avec un dessin si mécanique, et un Makyo qui finalement me déçoit un peu plus chaque jour...
Rotundo et Makyo, Prédiction
#1 Fatale mélodie - 2007 Delcourt
5/20
Et on poursuit avec Makyo ! Un truc dessiné par Rocco... avec qui il avait fait Le jeu de pourpre, acheté à Angoulême mais pas encore relu. Ca commence incompréhensible, limite risible (comme ça m'avait fai avec le cycle des épées avant que je le ferme à jamais au bout de 6 pages). C'est une sorte de road-movie BD routière, où le héros, doté d'une particularité étonnante, fuit devant un groupe de sangsues. Ca fait un peu penser au Lièvre de Mars, en moins bien. Il y a des mystères, des complots secrets, des traitres...
Toujours assez peu d'humanité, à force de chercher de la spiritualité !
Rocco et Makyo, ADN
#1 L'espèce temps - 2003 Glénat, Grafica
9/20
Je ne trouve pas mon bonheur en ce moment !
Mais Le poulpe est une série bien décevante ! Avec des dessinateurs souvent hyper brouillons, pleins de traits partout... et des adaptations souvent très mauvaises. Comme ici. Mais alors, très mauvaise !
A lire plutôt l'épisode de Pourquié, vachement bien et super drôle (ceux de Baladi et Fraize sont pas mal quand même).
Sinon, les titres me font mourir de rire (en particulier la petite écuillère a cafté).

Perger d'après Luraghi, Le poulpe
#6 Pour cicogne - 2001 Six pieds, Céphalopode
5/20