Giraud m'a relancé sur la piste de Mac Lane, enfin, Fly, Rowland, bref. Les tomes 16 et 17 de XIII, avec des couvertures mal dessinées, des personnages vu de face, comme d'hab'. Si,
parfois, Vance dessine des profils. Bon.
- Le #16 : On retrouve Félicity ici (arrivée dans le tome précédent sans doute) et c'est une coïncidence inutile. Elle ne sert à rien, juste recycler les personnages, comme Van Hamme aime à le faire (il en abuse sur certains Thorgal), pour nous faire sentir qu'on est dans son petit monde, malheureusement sans âme... Vance dessine comme un pied : m'enfin, lorsque cette vilaine crache sur le brave capitaine, il n'y a rien ! pas de mouvement, pas de sentiments... Et Van Hamme nous sert des lieux communs à foison (quel scénariste de bas étage oserait encore faire évader une femme de cette façon, en utilisant ses charmes face à un garde aussi naïf ?).
- Le #17 : Felicity s'échappe encore !! Chez Van Hamme : on s'évade toujours d'une prison, et tout le temps, faudrait faire le compte des évasions dans la série... C'est pénible ! C'est parce que Van Hamme a tellement de mal avec ses rebondissements, qu'il nous ressert toujours le même... Et qu'il a du mal à se séparer d'un méchant (ben fallait pas le faire prisonnier !). Vance ne s'embête pas des décors : Mexico est torché en 2 secondes. Vance ne s'embête pas à dessiner des choses crédibles : il place sur une case tous les personnages de l’hôtel face à la carte étalée sur la table... invisible pour certains, mais c'est pas grave : on a tout nos personnage, en ligne, vus de face !!! Et l'attitude de Betty, quand elle se casse la figure sur "La cabeza", qui y croit ? Et cette "Cabeza" ? Van Hamme fait du Duchateau ! On se croirait dans Ric Hochet ! En tout cas, les méchants ont bien une tête de méchant. Comme ça on comprend bien.
-Le #19 : Ben, je l'ai lu à la bibliothèque. Et J'arrête de me répéter. Pour simplifier, Vance dessine mal (quand on espère que dessiner nous entraine dans le mouvement, à travers des émotions) et le fond du scénario de Van Hamme (je ne parle pas de l'histoire) est pauvre, les dialogues sonnent faux (Danny au début de ce tome est censé dialoguer avec le journaliste, il est un prétexte pour résumer l'histoire pour nous pauvres lecteurs, mais parle comme un pavé de récitatif), les coïncidences (Jessica sauve Giardino in extremis !!!) montrent les faiblesses de Van Hamme !!!
C'est nul. OK papa : JE trouve ça nul !! Mais alors nullissime que je suis hors de moi... Nâm Yo o Renge KYOOoooO... Mmmf... Bon.
4/20
- Le #16 : On retrouve Félicity ici (arrivée dans le tome précédent sans doute) et c'est une coïncidence inutile. Elle ne sert à rien, juste recycler les personnages, comme Van Hamme aime à le faire (il en abuse sur certains Thorgal), pour nous faire sentir qu'on est dans son petit monde, malheureusement sans âme... Vance dessine comme un pied : m'enfin, lorsque cette vilaine crache sur le brave capitaine, il n'y a rien ! pas de mouvement, pas de sentiments... Et Van Hamme nous sert des lieux communs à foison (quel scénariste de bas étage oserait encore faire évader une femme de cette façon, en utilisant ses charmes face à un garde aussi naïf ?).
- Le #17 : Felicity s'échappe encore !! Chez Van Hamme : on s'évade toujours d'une prison, et tout le temps, faudrait faire le compte des évasions dans la série... C'est pénible ! C'est parce que Van Hamme a tellement de mal avec ses rebondissements, qu'il nous ressert toujours le même... Et qu'il a du mal à se séparer d'un méchant (ben fallait pas le faire prisonnier !). Vance ne s'embête pas des décors : Mexico est torché en 2 secondes. Vance ne s'embête pas à dessiner des choses crédibles : il place sur une case tous les personnages de l’hôtel face à la carte étalée sur la table... invisible pour certains, mais c'est pas grave : on a tout nos personnage, en ligne, vus de face !!! Et l'attitude de Betty, quand elle se casse la figure sur "La cabeza", qui y croit ? Et cette "Cabeza" ? Van Hamme fait du Duchateau ! On se croirait dans Ric Hochet ! En tout cas, les méchants ont bien une tête de méchant. Comme ça on comprend bien.
-Le #19 : Ben, je l'ai lu à la bibliothèque. Et J'arrête de me répéter. Pour simplifier, Vance dessine mal (quand on espère que dessiner nous entraine dans le mouvement, à travers des émotions) et le fond du scénario de Van Hamme (je ne parle pas de l'histoire) est pauvre, les dialogues sonnent faux (Danny au début de ce tome est censé dialoguer avec le journaliste, il est un prétexte pour résumer l'histoire pour nous pauvres lecteurs, mais parle comme un pavé de récitatif), les coïncidences (Jessica sauve Giardino in extremis !!!) montrent les faiblesses de Van Hamme !!!
C'est nul. OK papa : JE trouve ça nul !! Mais alors nullissime que je suis hors de moi... Nâm Yo o Renge KYOOoooO... Mmmf... Bon.
4/20
J'ai trouvé une BD des bordelais Chan et Sala, découverts à l'expo Bord'images, fin décembre. Cross fire !!C'est chez Soleil, l'éditeur pas trop regardant, qui veut inonder le marché
avec des milliers de titres, sans forcément les suivre, juste pour occuper la place. En plus, c'est dans la collection Soleil levant, où on trouve des auteurs inspirés fortement
du shonen.
Premières impressions : y a du punch, les couleurs ordinateur sont laides. Puis, du réalisme graphique, on bascule dans la stupidité manga-Dragonball. La gamine pleure à chaudes larmes à l'instant où la moto de son compagnon explose, alors qu'elle essaye elle aussi d'éviter les missiles de l'hélico. La bonne soeur verse des larmes aussi du tac au tac en se remémorant ce compagnon disparu. Le beau gosse verse une goutte de sueur, la gamine tire la langue : on est dans Dragonball j'vous dit ! Je n'y arrive vraiment pas avec les couleurs à l'ordi. Et les impressions de mouvement données par le flou, à l'ordi toujours, sont horribles !! On peut tellement faire sans et bien. La crédibilité est mise vraiment à mal... Très décevant !
4/20
J'ai bien aimé les 2 premiers Luka, enfin, le clin d'oeil à Cosey m'avait mis dans un état second... Le style de Mezzomo est assez proche de celui d'Hermann, et j'avais l'impression qu'il s'était dégradé avec le #3, mais il semble redevenu correct ici. Nos héros sont pris au coeur d'une tourmente politico-mafieuse, avec le milieu du foot en toile de fond, et Sidney Bristow en guest star. C'est sans plus. C'est du Largo Winch, pour rester copain avec Van Hamme.
10/20
Premières impressions : y a du punch, les couleurs ordinateur sont laides. Puis, du réalisme graphique, on bascule dans la stupidité manga-Dragonball. La gamine pleure à chaudes larmes à l'instant où la moto de son compagnon explose, alors qu'elle essaye elle aussi d'éviter les missiles de l'hélico. La bonne soeur verse des larmes aussi du tac au tac en se remémorant ce compagnon disparu. Le beau gosse verse une goutte de sueur, la gamine tire la langue : on est dans Dragonball j'vous dit ! Je n'y arrive vraiment pas avec les couleurs à l'ordi. Et les impressions de mouvement données par le flou, à l'ordi toujours, sont horribles !! On peut tellement faire sans et bien. La crédibilité est mise vraiment à mal... Très décevant !
4/20
J'ai bien aimé les 2 premiers Luka, enfin, le clin d'oeil à Cosey m'avait mis dans un état second... Le style de Mezzomo est assez proche de celui d'Hermann, et j'avais l'impression qu'il s'était dégradé avec le #3, mais il semble redevenu correct ici. Nos héros sont pris au coeur d'une tourmente politico-mafieuse, avec le milieu du foot en toile de fond, et Sidney Bristow en guest star. C'est sans plus. C'est du Largo Winch, pour rester copain avec Van Hamme.
10/20
Biotope se poursuit en pleine forêt. Les écolos extrémistes s'opposent aux gentils verts, après s'être ensemble opposés aux méchants terriens dans le #1. Je suis un peu déçu de cette suite,
d'abord parce que j'avais été hyper emballé par ce #1, et puis on sent qu'on va vite tourner en rond, dans cette planète-forêt se désertifiant...
11/20
11/20
Bébert le cancrelat est une petite BD sans prétention, que j'ai lu sur internet (c'est nul : vive le papier !!). On retrouve le dessin très classique de Conrad, et le style - sans pitié
- de Yann.
10/20
Dans la même école que les précédents, on trouve les Léturgie, et Simon, digne héritier de Conrad. Le contrat Bob Steel fait suite au Contrat Polstar où Simon était le héros. Ici, c'est Frank Isard que Jean Léturgie essaye de ruiner pour qu'il retourne au boulot... C'est court, drôle, sans prétention... Et ça annonce L'oeil du Requin, livre unique d'Isard, scénarisé par Jean, très bon bouquin, très prometteur... et pourtant, Isard n'a rien fait depuis !!!!
11/20
10/20
Dans la même école que les précédents, on trouve les Léturgie, et Simon, digne héritier de Conrad. Le contrat Bob Steel fait suite au Contrat Polstar où Simon était le héros. Ici, c'est Frank Isard que Jean Léturgie essaye de ruiner pour qu'il retourne au boulot... C'est court, drôle, sans prétention... Et ça annonce L'oeil du Requin, livre unique d'Isard, scénarisé par Jean, très bon bouquin, très prometteur... et pourtant, Isard n'a rien fait depuis !!!!
11/20
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