Je lisais un peu Josso dans Lapin... cette expo, magnifiquement bien fichue, m'a donné envie de lire, de comprendre son travail.
L'expo Grocery s'ouvre par une boutique, genre Marché Ferraille (tout a déjà été fait ?) et présente des travaux de recherche, des étapes de création... je n'ai pas eu le sursaut d'avec Josso (c'était tentant, mais j'ai vraiment trop de trucs à lire). L'expo Asterix me désespérait d'emblée... j'ai pas été déçu de ma déception.
Quelle perte de temps ! Conrad et Ferri qui font ça, Léturgie Les profs !
Laurent Verron a réalisé des fresques de son personnage pendant tout le week-end. Il squatte l'hebdo Spirou avec ce long récit insipide, comme ce hall glacé, pour qu'on l'oublie pas, qu'on achète son bouquin ? On n'est pas si bête ! Il aurait fallu sans doute un (bon) scénariste.
Le show Mastodonte a été un peu vampirisé par Trondheim (on s'en doutait), mais Bourhis s'est vraiment éclaté dans son rôle de gourou. C'était très drôle.
Obion n'était pas sur cette piste : il était dans son conte à bulle de quai des bulles. C'était aussi assez joli.
La conférence du gag était super intéressante... Réalisée par de vrais professionnels, le rire était de la partie ! Bernstein me fait vraiment marrer.
La petite rencontre dessinée avec Chauzy était plutôt intéressante (mais quelle idée de reprendre en BD ce roman déjà adapté en images ?). Pas lu grand chose de Chauzy depuis des années moi.
Volo accompagné de Panaccione a donné un concert ravissant. Drôle, engagé, émouvant... deux voix qui se répondent avec en toile de fond des dessins qui se créent sous nos yeux. Très beau !
mardi 31 octobre 2017
A Saint Malo, beau port de mer
En débarquant à Saint Malo, il fallait forcément passer par la galerie en hommage à Plessix. Il fallait commencer par là. Quelques planches de ses séries, quelques dessins de ses amis, en hommage à son talent, à lui. Il laisse une place très vide. Patrick Jusseaume est décédé il y a quelques jours... Le pauvre a été complètement zappé ! C'est Totoche qui m'en a parlé, sinon je ne l'aurais jamais su. On pouvait quand même se faire dédicacer Tramp dans la galerie marchande. Business is business.
Assis dans l'allée d'une salle comble, j'assiste aux racontards illustrés par Cossu (non, l'autre), découvert récemment dans Spirou. Le duo conteur/musicien est parfait, l'histoire un peu moins, et la mise en image habilement séquencée (bien préparée on va dire).
La conférence sur "la non-fiction en BD" est assez chiante, alors qu'une foule de comiques drôles s'égaye autour de la table. J'ai du mal avec ce chemin que prend la BD, en particulier l'impasse dans laquelle s'est réfugié Davodeau (complètement zappé sa carte blanche).
L'expo de Lauzier, très classique, ne vaut que par la présence de quelques crayonnés... y a même un film où Lauzier devise avec Sattouf (très mauvais final ! m'a gâché mon tour).
La rencontre graphique, dont le principe avait été lancé à Angoulême (puis abandonné) est repris un peu ici : un auteur répond à des questions, des suggestions, par le dessin. C'est Alfred qui s'y colle, et bien sûr : il sait y faire.
Aude Picault semble exaspérée dès le début de la rencontre ! Elle a mal au crâne, les questions semblent sans réponse... Le type est maladroit, et elle, elle fait un peu la gueule. Elle parle de ses bouquins, dont je suis un grand amateur, un peu de sa technique, un peu de sa façon de se mettre dans un livre. Elle est brillante, et donc : ses bouquins sont de beaux livres.
Assis dans l'allée d'une salle comble, j'assiste aux racontards illustrés par Cossu (non, l'autre), découvert récemment dans Spirou. Le duo conteur/musicien est parfait, l'histoire un peu moins, et la mise en image habilement séquencée (bien préparée on va dire).
La conférence sur "la non-fiction en BD" est assez chiante, alors qu'une foule de comiques drôles s'égaye autour de la table. J'ai du mal avec ce chemin que prend la BD, en particulier l'impasse dans laquelle s'est réfugié Davodeau (complètement zappé sa carte blanche).
L'expo de Lauzier, très classique, ne vaut que par la présence de quelques crayonnés... y a même un film où Lauzier devise avec Sattouf (très mauvais final ! m'a gâché mon tour).
La rencontre graphique, dont le principe avait été lancé à Angoulême (puis abandonné) est repris un peu ici : un auteur répond à des questions, des suggestions, par le dessin. C'est Alfred qui s'y colle, et bien sûr : il sait y faire.
Aude Picault semble exaspérée dès le début de la rencontre ! Elle a mal au crâne, les questions semblent sans réponse... Le type est maladroit, et elle, elle fait un peu la gueule. Elle parle de ses bouquins, dont je suis un grand amateur, un peu de sa technique, un peu de sa façon de se mettre dans un livre. Elle est brillante, et donc : ses bouquins sont de beaux livres.
Une aventure du lieutenant Blueberry
Avant de s'appeler Blueberry, la série était baptisée Fort Navajo dès le Pilote #210 paru le 31 octobre 1963.
Feroumont : "Tsinapah" sur son blog le 19 juin 2012
Feroumont : "Tsinapah" sur son blog le 19 juin 2012
lundi 30 octobre 2017
dimanche 29 octobre 2017
What's in your head ?
Zombillénium débute dans Spirou #3698, mais De Pins avait déjà insufflé son univers monstrueux dans le numéro d'halloween précédent (le #3681 du 29 octobre 2008)
Neidhardt : Les aventures d'un journal in Spirou #4149
Neidhardt : Les aventures d'un journal in Spirou #4149
samedi 28 octobre 2017
vendredi 27 octobre 2017
Un nid à Saint Malo
De leur verte Dordogne, Julie M débarque à Quai des Bulles avec Josepe et leur petite maison d'édition Belloloco
et puis, généralement, Didier Cromwell et Lulu Catmalou ne sont pas loin...
et puis, généralement, Didier Cromwell et Lulu Catmalou ne sont pas loin...
Jojo dans la cour des grands
Jojo est apparu dans Spirou #2376 le 27 octobre 1983.
Clarke, Degotte et Flamand
Jousselin, Gazzo et Goulet
Lécroart, Laurel et Ysebaert
Clarke, Degotte et Flamand
Jousselin, Gazzo et Goulet
Lécroart, Laurel et Ysebaert
jeudi 26 octobre 2017
Une étoile filante
L'astéroïde 184878 a été découvert le 26 octobre 2005. Il a été baptisé "Gotlib" au lendemain de la mort du célèbre humoriste drôle.
Le génialissime Alexis le croque dans Pilote dès son arrivée en 1968.
#467 à 492
#500 à 520
#520 à 572
#583 à 602
#614 à 731
#Pilote mensuel à fluide
Le génialissime Alexis le croque dans Pilote dès son arrivée en 1968.
#467 à 492
#500 à 520
#520 à 572
#583 à 602
#614 à 731
#Pilote mensuel à fluide
mercredi 25 octobre 2017
Le jour du silence
Derib débute sa carrière avec Job il y a 50 ans avec Pythagore, puis Yakari... Il poursuivra son aventure avec d'autres scénaristes dans Spirou et tintin.
Job n'écrira que pour Derib. Il a 90 ans aujourdhui.
Job n'écrira que pour Derib. Il a 90 ans aujourdhui.
mardi 24 octobre 2017
lundi 23 octobre 2017
Un homme à la mer
Christian Cailleaux est le mec qu'a la classe ultime. Tellement qu'on dirait pas un auteur de BD.
Et sa voix ! De baryton... deux poissons pour rappeler son amour de la mer et des bateaux.
Hervé Bourhis
Moynot, Cailleaux et ? (in Long cours #4)
Et sa voix ! De baryton... deux poissons pour rappeler son amour de la mer et des bateaux.
Hervé Bourhis
Moynot, Cailleaux et ? (in Long cours #4)
dimanche 22 octobre 2017
Vieille peau
Pochep, comme Jigounov (mais lui on s'en fout un peu), a 50 ans aujourdhui.
Bourhis, Dutreix et Fred Boot
?, JuCDM et Lolmède
Obion et Pixel vengeur
Terreur Graphique et Pourquié
? et Unter
Bourhis, Dutreix et Fred Boot
?, JuCDM et Lolmède
Obion et Pixel vengeur
Terreur Graphique et Pourquié
? et Unter
on y cause de
?,
Boot,
Bourhis,
Dutreix,
Ju/CDM,
Lolmède,
Obion,
Pixel vengeur,
Pourquié,
Terreur graphique,
Unter
L'alpha de la BD
Youri Jigounov est l'auteur russe de bande dessinée. Il en est à l'alpha... mais on est loin de l'oméga.
Berthet et James
Clarke, Lamquet et Tibet
Berthet et James
Clarke, Lamquet et Tibet
samedi 21 octobre 2017
vendredi 20 octobre 2017
Molyneux sur le quai de Pilote
"Un jour, allez savoir pourquoi, le nom de Molyneux est apparu dans notre mâtin, quel Polite. Il a été aussitôt adopté par toute l'équipe, qui en a fait le héros d'un étrange fait divers (absolument authentique). Un passager de wagon-lit, profitant d'un arrêt intempestif en pleine nuit, décide de descendre du train pour fumer un cigare en faisant les cent pas. Le train s'ébranlant silencieusement. Le malheureux Molyneux se trouve abandonné, en pleine nuit, en pyjama, et en robe de chambre, sur le quai désert d'une petite gare perdue. Cet incident a servi de base à Pélaprat pour ses extraordinaires pastiches."
On se ballade entre les Pilotes #502 et 660 :
Fred, Mandryka, Alexis, Mandryka et Poppé
Loro, Alexis, Mandryka, Alexis et Loro
Martial, Mandryka et Loro
Giraud, Poppé, Glay et Poppé
Mandryka, Poppé, Glay, Morchoisne et Glay
Poppé, Esdé, Dimitri et Mandryka
Mulatier, Loro, Glay, Poppé et Alexis
Glay, Loro, Alexis, Glay et Poppé
Poppé, Glay, Goussé et Poppé
Gibo, Alexis et Poppé
Goussé et Poppé
Poppé, Massonnat, Comes et Giraud
in Pilote annuel de 1972
On se ballade entre les Pilotes #502 et 660 :
Fred, Mandryka, Alexis, Mandryka et Poppé
Loro, Alexis, Mandryka, Alexis et Loro
Martial, Mandryka et Loro
Giraud, Poppé, Glay et Poppé
Mandryka, Poppé, Glay, Morchoisne et Glay
Poppé, Esdé, Dimitri et Mandryka
Mulatier, Loro, Glay, Poppé et Alexis
Glay, Loro, Alexis, Glay et Poppé
Poppé, Glay, Goussé et Poppé
Gibo, Alexis et Poppé
Goussé et Poppé
Poppé, Massonnat, Comes et Giraud
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