vendredi 29 février 2008

Cauvin-la-poilade, par Malik

Encore ?!
Ben, c'est pareil pour Malik, il fait pas mal de clins, à Cauvin, Kox, Carpentier, et il se dessine beaucoup, tout petit, et c'est rigolo de le chercher... bon. Malik et Cauvin commettent Cupidon, où certains gags sont interchangeable avec Pierre Tombal. Cupidon s'occupe de faire tomber les gens amoureux, mais aussi de résoudre des cas plus extrêmes. Cauvin se veut parfois très pédagogue, pour nous faire connaitre un insecte, des mœurs animaliers, un pays lointain... C'est... pénible.
Comme Pierre Tombal, cette BD est oubliable au possible.

Dans le #3, Cauvin apparait, distingué, en honnête passant. Dans le #9, une banderolle de pub dans un stade nous laisse apercevoir "Cauvin" et "Kox". Et dans le bar : Cauvin et Carpentier, servi par leur personnage Poje.

On retrouve les mêmes dans le #8. Et dans le #9, un portrait du maitre, et dans le #10, dans la pieuse assemblée.

Dans le #9 on le retrouve, simple passant, et modèle de l'artiste Laudec (avec Malik). Dans le #10, parmi les nains de jardins, on découvre Cauvin (et Malik et Carpentier). En fin de #7, Cauvin fuyant l'orage avec madame.

Dans le #10, à une réception, avec, mais je ne suis pas sûr, Kox. Qu'on retrouve dans le #9, amoureux de Cauvin (ces deux ci ont réalisé ensemble L'agent 212).

Dans le #10, dans une série de portraits, entre Einstein et Malik. Et en amoureux se prenant un râteau, et en diable dans une boite.

Cauvin est à la mode : dans le #18, un djeun à un Tshirt à son effigie. Un porte-clés port-bonheur est accroché sous l'écran d'un internaute aux traits de Malik. Et ce type qui promène son chien, c'est peut-être lui aussi...

Ouf !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire