Gotlib chahutte un peu son père dans ses livres. Dans l'esprit Mad, cher à Goscinny.
Dans Hispanola, les brigands sont nos amis.
Luc Leroi participe à un bal masqué, dont le héros est Corto, mais où Obélix tente une approche avec mamzelle Jeanne.
A la fin de Space Cake, on se retrouve à la fin d'une aventure d'Asterix.
Un totem représente le chevalier de Haddoque, Léonid Beaudragon, et Asterix.
Et puis, dans Marine de Tranchand et Corteggiani, il y a des références à Jehan Pistolet, à un barde attaché, à des qui ont peur que le ciel ne leur tombe sur la tête... Chez Tronchet on lit beaucoup Astérix. Et chez Sfar aussi. Le banquet est souvent prit pour référence. La petite phrase d'introduction des albums, qui résonne à nos oreilles avec la voix chaude de Tchernia "Toute ? non ! Un petit village résiste...", est aussi une référence, et pas que dans le petit monde de la BD. Un gros qui n'est pas si gros que ça, qui est tombé dedans quand il était petit, des romains un peu fous... Finalement, Astérix est un élément de notre culture à tous.
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