samedi 29 décembre 2007

Goscinnix et Uderzox

On pardonne tout à Goscinny. Même d'avoir créé Iznogoud.

Parce qu'enfin, Le petit Nicolas, les Dingodossiers, Astérix sont des inventions géniales et Pilote, Lucky Luke, Chick Bill, Modeste et Pompon des reprises de talent.

On n'est pas obligé de pardonner autant à Picsou, euh, à Uderzo.

Uderzo se dessine avec son complice dans les Jeux olympiques, sur un marbre, se traitant l'un l'autre de despote et de tyran. Dans le Chaudron, assis, ils entourent le préfet dans les gradins. On les voit transporter Tchernia, légionnaire décadent dans Obelix et compagnie, et il me semble aussi dans le domaine des dieux, où ils sont explosés.

Frantico fait sa peste auprès des auteurs. Et dans Spoon et White, Oumpapah vend une flèche à Uderzo.
Ayroles, dans ses 28 moments clés de la BD, nous montre Goscinny qui arrête le dessin. On doit comprendre qu'il se lance à fond dans le scénario, et c'est vrai, c'est un des moments clé de la grande aventure de la BD.

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