Après une journée de confection du leporello de Guillaume à l'alca, notre train part mardi matin, à l'heure. Le rb&b est à deux pas de la rue Choron, celle là même du professeur, et aujourdhui : celle de la galerie Barbier. Une expo Ledroit, sans intérêt, mais deux numéros plus loin : on nous accompagne dans une nouvelle galerie où est exposé le travail de Benjamin Bachelier.
Des planches à l'encre magnifiques et quelques dessins couleur vraiment très beaux. Un sympathique accueil dans ces espaces pas forcément très prévus pour.
Après Goscinny et Cabu, je retourne au bouleversant Mémorial de la Shoa rencontrer Spirou en guerre.
On suit Jean Doisy, avec un petit aperçu de la bande en cours dans l'hebdo, signée Morvan et d'un homonyme du résistant. Du jour où je me suis posé la question (quoi ? c'est son petit-fils ? son neveu ?) je guette les articles où ce détail n'est jamais relevé.
L'expo en tout cas fait bien le lien entre la "BD" et ce moment historique.
Le MAHJ ne nous laisse pas rentrer plus loin que la librairie... Tant pis.
On file à la librairie japonaise où j'achète des mangas en japonais pour faire des cadeaux illisibles mais rigolos, un peu.
On se prépare pour le spectacle du soir au Rond-Point, qui finalement à plus l'air d'être un resto qu'un théâtre.
Mercredi, puisque notre train de retour est annulé, on file au Palais Galliera voir si on peut s'arranger. On ne peut pas s'arranger. Ils ont décidé qu'ils ne feraient pas d'accueil au public, mais plutôt du fric, alors tant pis pour les culottes à Frida (je ne sais pas pourquoi : ça m'arrange).
Direction le Petit Palais, où Catwoman nous accueille.
L'expo André Devambez est extraordinaire. Son œuvre est magistrale sur tout support, toute technique, tout sujet.
Ses mises en page sont étonnantes... avec le sujet tout petit ou en limite de l'oeuvre !
L'aprèm s'ouvre chez Huberty avec une expo Zep. Enfin : Titeuf.
C'est sûr : le gars sait y faire. C'est rond, c'est doux. C'est pipi caca, mais ça marche. A l'étage, une galerie d'hommages :
Mais où est exposé Trapier ?
Au Musée des Arts Déco, une expo de mode vite fait...
Cocteau sur Schiaparelli et Schiaparelli par Cocteau
Un peu plus loin : l'expo Robial.
Avec quelques hommages issus de Robialopolis, des expositions de ses travaux de conception de couv de journaux bédé...
Et des trucs super techniques sur la création de police... et un truc sur le sens de la marche...
pas pigé...
On termine par la galerie Maghen... j'avais dit quoi sur l'accueil à Barbier ? Ok chez Huberty, bin pas chez Maghen. Jamais chez Maghen. Un autre monde.
Ce soir : c'est Morgane Cadignan à l'Européen, et c'était bien.
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