dimanche 30 janvier 2011

Angoulême - J1

Le train me dépose à Angoulême à 8h50. C'est un peu tôt, vu que le festival n'ouvre ses portes qu'à 10h (la liaison avec Bordeaux n'est pas bien répartie dans la matinée, le train suivant n'arrivait que vers 11h30). SNCF est partenaire de l'évènement, et propose des billets à prix réduit, mais pas plus que pour une autre destination, sauf qu'il ne sont pas remboursables : bravo les commerciaux de l'ancienne grande entreprise de service public.
En attendant Laurent (de Paris), j'erre entre les bulles, où je croise Christian, déjà prêt (sac à BD, bracelet).
Après un petit tour à l'appart, nous arrivons dans les bulles vers 11h, les yeux partout. Un passage au "nouveau monde" nous apprend que l'asso est en grève ! Aucun livre sur le stand, le personnel est lâché par la direction. Depuis le temps que je sais que Menu est schizophrène ! Plus loin, Marion Guette Fabcaro.
Les choses sérieuses commencent au "monde de bulles" :

Moebius est là, dans son stand à lui, toujours aussi dispo, gentil et tout. Bon, mais inapprochable quand même, tellement de gens sont là pour approcher le dieu vivant.
Je croise Steph de Mimizan (croisé régulièrement à BD Fugue Bordeaux) avant d'aller chercher un ticket pour la dédicace de Marzi. Pierrick est là, pas vraiment à l'affût (un chasseur de dédicaces tranquille).
Un petit tour au musée archéologique, où sont exposées les planches du nouveau clafoutis en off du festival. Vincent Perriot me fait un joli dessin sur mon exemplaire...
Vers 16h, je me plonge dans la petite file d'attente de Marzi :

Sont très sympa. Même si j'ai dézingué le format des rééd de Marzi (ces petits formats avec 2 strips par page).
Petite pause dans la maison des peuples (havre de paix où on aime bien se rendre), où Chantal Montellier se fait interviewer par ce qui doit être une journaliste.

Quelques dessins de presse, des planches d'albums dans la salle du fond, un verre de jus d'ananas bio, une plaquette de choco équitable, et zou ! Nous arpentons la rue Hergé vers la mairie en direction du nouveau monde.
On explore, farfouille, découvre.
Chez Comix Buro, Cassegrain dédicace un livret de croquis à un libraire. Il n'y a personne d'autre : je me place. En attendant, j'achète aussi le Tébo et le Vatine. Tébo boit une bière à côté, et la vendeuse me propose d'aller le chercher, je dis que non (j'aime pas déranger). Rien à faire, elle va le chercher. Pour tenir compagnie aussi à Cassegrain, qu'a l'air épuisé ! Il me fait un Titeuf (c'est facile à dessiner). Lereculey propose à Cassegrain de me dessiner un gros guerrier avec une hache... alors que bien sûr je voulais une fille lascive !! Les haut-parleurs résonnent que les bulles éclatent, qu'il est 19h et que ça suffit. Les beaux parleurs terminent leurs dessins et leurs bières.
Nous, nous filons vers le théâtre, pour la cérémonie® d'ouverture du festival®.

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