En ouverture du journal de Spirou, un strip vertical nous parle de BD.
C'est imaginé par Salma, qui pour le coup, me surprend agréablement, et dessiné par Libon (l'avenir nous le dira).
L'été, c'est le train, et du temps pour lire : les dossiers du canard et la redécouverte de Spirou. Je prends en route dans le journal, des histoires commencées, en voie de conclusion... pas facile à saisir. Malgré tout, il y a cette joie à lire Esteban, Le royaume, Marzi, Bouzard... Il y a les rigolos Plunk !, Game over, Parker & Badger et Nelson, et la diarrhée de Cauvin (pas drôle). La Spirou dream team s'essouffle carrément, et je m'imagine mal un enfant prendre un quelconque plaisir à la lire... c'est hermétique, et essentiellement au second degré. Et du coup, ce décalage (par rapport au lectorat du journal) me met en décalage désagréable.
Les rubriques m’intéressent toujours autant (Les aventures d'un journal, La galerie des illustres), et malgré le départ du Boss écolo, Duhoo nous forme nos petites têtes blondes aux dangers du nucléaire.
Bon, il y a aussi des trucs incompréhensibles (c'est quoi ce machin de Bataillon, et la porte ouverte aux blogueuses ??).
Comme à chaque fois, je me dis que je me ré-abonnerai bien. Oups : que je ré-abonnerai bien mes fils !
Pour reprendre l'article de t'à l'heure : les éditeurs font du boudin.
Et l'indigestion de fondue est cauchemargène.
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