Je ne connais pas d'autre auteur qui mette autant en avant son éditeur. Alors, peut-être que Yann a eu des soucis avec eux (tiens, faudra que je relise son harem de papier et les cahiers #83), ou au contraire de telles joies, qu'il ne peut s'empêcher de les faire apparaitre. Et c'est contagieux, car ses dessinateurs se lâchent à son contact.
Petit exemple dans Spirou, d'où il sort, tout de même :
Petit exemple dans Spirou, d'où il sort, tout de même :
On est dans le #2 de Lolo et Sucette (chez Dupuis), et les plaques des rues portent le nom des rédacteurs en chef de Spirou.
Je ferais une analyse de tous ces noms, dans toutes ses BD (il y en a un tas !), mais on comprend assez vite que Martens est tout pourri et que De Kuissche est un peu son papa.
Les images suivantes sont tirées du premier tome de Lolo et Sucette, seul paru chez Glénat. Les allusions y sont nombreuses, et gentillettes :
p10 et p20Je ferais une analyse de tous ces noms, dans toutes ses BD (il y en a un tas !), mais on comprend assez vite que Martens est tout pourri et que De Kuissche est un peu son papa.
Les images suivantes sont tirées du premier tome de Lolo et Sucette, seul paru chez Glénat. Les allusions y sont nombreuses, et gentillettes :
#2 p44 et #4 p39
En ont-ils été virés précipitamment ??
Yann a finalement été pas mal édité chez Glénat : La patrouille des Libellules, Bob Marone, Célestin Speculoos, Yoyo, Tako, Nuits blanches et Sambre. Mais il leur tombe sur le râble dans Sales petits contes, sous le trait d'Hermann. On sent un certain ressentiment à l'encontre de Camano et de la politique manga du groupe, qui a importé ce genre en France (avec Dragonball). On sent que son coeur est resté chez Dupuis, à la grande époque de Franquin. Et paradoxalement, son navet incontesté est la reprise du Marsupilami des mains du Maître !!!
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