Chantal Montellier fait des BD militantes, féministes un peu, écolos et libertaires. Une compilation regroupant Wonder city, Shelter et 1996 est parue sous le nom Social Fiction. Elle y parle de libertés, d'humanité, un peu désespérée*.
Tchernobyl mon amour (d'après Duras, qui n'a pas écrit que des conneries, comme dirait Desborges) est un constat terrible sur notre société, sur le rôle des journalistes aussi.
Tchernobyl mon amour (d'après Duras, qui n'a pas écrit que des conneries, comme dirait Desborges) est un constat terrible sur notre société, sur le rôle des journalistes aussi.
Elle y place Superdupont à deux reprises, comme représentant du français moyen, avec son beret au ras de son front national.
Elle est généralement adepte des clins d'yeux à Tintin (dans Julie Bristol #2 et 3) ou à Tardi (dans Julie Bristol #1 et Paris sur sang). Dans Wondercity, on découvre un poster d'Arzach (on est dans Métal hurlant), et dans Shelter un bouquin de Barbarella.
Elle est généralement adepte des clins d'yeux à Tintin (dans Julie Bristol #2 et 3) ou à Tardi (dans Julie Bristol #1 et Paris sur sang). Dans Wondercity, on découvre un poster d'Arzach (on est dans Métal hurlant), et dans Shelter un bouquin de Barbarella.
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