Le cycle de Cothias, globalement chez Glénat, et normalement dans la collection Vécu, est fleuve. Il comporte 54 tomes répartis dans ces 9 séries. Se déroule sous les règnes d'Henri II (à la naissance d'Henri IV) à Louis XIII. Elle a usé 9 dessinateurs, mais surtout Dethorey.
Et puis Prudhomme a joliment piégé Glénat en faisant éclater son trait. Et puis Cothias s'est fâché avec Glénat, et on n'entend plus parler de ce scénariste fleuve !!
Commencé en 1980 dans Pif, le cycle prend fin en 2004, avec le 6ème tome de la série Ninon secrète, dessinée par Prudhomme. C'est l'album des retrouvailles, hors du temps... Ninon retrouve ses parents, Ariane et Grandpin. La toute fin de l'album reçoit les visites de Juillard, qui dessine Ariane (des séries Masquerouge, les 7 vies et Plume aux vents), Méral qui anime Grandpin (de la série Coeur brûlé) et Goepfert qui fait jouer Molière (Le fou du Roy), fils d'Ariane et de Louis XIII.
Et puis Prudhomme a joliment piégé Glénat en faisant éclater son trait. Et puis Cothias s'est fâché avec Glénat, et on n'entend plus parler de ce scénariste fleuve !!
Commencé en 1980 dans Pif, le cycle prend fin en 2004, avec le 6ème tome de la série Ninon secrète, dessinée par Prudhomme. C'est l'album des retrouvailles, hors du temps... Ninon retrouve ses parents, Ariane et Grandpin. La toute fin de l'album reçoit les visites de Juillard, qui dessine Ariane (des séries Masquerouge, les 7 vies et Plume aux vents), Méral qui anime Grandpin (de la série Coeur brûlé) et Goepfert qui fait jouer Molière (Le fou du Roy), fils d'Ariane et de Louis XIII.
C'est un petit jeu amusant, assez rare dans une BD réaliste (Konture et Trondheim ainsi que Crumb et Miss Crumb y ont joué sur des récits courts, assez mollement).
Je ne suis pas fana de ce cycle... Mais il y a je crois une dimension à saisir, un surnaturel entourant la marionnettiste. Et puis, les plus classiques d'entre nous s'extasiront devant l'éclat du dessin de juillard. Mais la chaleur du trait de Dethorey est aussi remarquable. Ainsi que le talent fougueux de Prudhomme.
Je ne suis pas fana de ce cycle... Mais il y a je crois une dimension à saisir, un surnaturel entourant la marionnettiste. Et puis, les plus classiques d'entre nous s'extasiront devant l'éclat du dessin de juillard. Mais la chaleur du trait de Dethorey est aussi remarquable. Ainsi que le talent fougueux de Prudhomme.
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