dimanche 11 novembre 2007

La langue d'Arq

Dans le tome 1 de Arq, les personnages du monde étrange où sont transportés 5 locataires d'un même immeuble, parlent une langue imprononçable...

Mais Andréas nous donne la clé...

Rien chez lui n'est laissé au hazard. Cette scène montre comment Nonac permet au bandit de le comprendre (où le contraire, enfin, de communiquer).
Et l'histoire continue.
  
Et si Nonac répetait là ce qu'il avait dit tout à l'heure ?
Twingo ! Ca colle impec. Ca a été ma pierre de rosette !!
Et moi de crier dans la maison que c'est pas possible qu'il est tordu cet Andréas qu'on va pas faire ça tout le temps !!! Et que j'étais fier, comme pour Soeur-Marie-Thérèse dans Julien Boisvert !!
Andréas à la particularité de rendre le lecteur très actif. Pas de fainéant parmi ses ouailles ! Les mises en pages sont extraordinaires mais jamais laissées au hazard. Avec ce petit jeu, il nous cligne du coin de l'oeil.

Andréas donne le code du langage dans un des derniers tomes. C'est de la triche.

Il replace par contre très discrètement son code dans le Donjon-Monster, sur la couverture de l'album :
  
"L'idée de la couverture est de Trondheim" !!

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