Comme Guibert, il explique qu'on a toujours dessiné, et que grand nombre d'entre nous a abandonné... nous concentrant sur l'écriture, qui finalement n'est aussi que du dessin. Il regrette qu'on soit si épaté par le graphisme (?) par ce que ce qui compte, c'est le récit (oui !).
Le dessin fascine... mais cette fascination créé un fossé.
Il nous sort grandes BD : Maus, Persepolis et L'arabe du foutoir... Sont-ce de bons exemples ? Le dessin n'est pas flamboyant, surtout en ce qui concerne Satrapi, mais le point commun entre ces histoires, ce n'est pas l'exceptionnelle lisibilité de la narration, mais le sujet ! Un bon sujet, cher Emile, ne fait pas une bonne BD. Et le fait qu'elle soit un succès commercial encore moins !!! Et la bédé d'un bon ami n'est pas non plus forcément une bonne bédé.
Bravo a une grande relation a son enfance, à l'enfant qu'il fut et celui qu'il est encore. Le monde n'est pas assez adulte... trop adolescent avec ses concours de bite...
et son projet de Spirou post-WW2 verra-t-il le jour ?
Bravo a une grande relation a son enfance, à l'enfant qu'il fut et celui qu'il est encore. Le monde n'est pas assez adulte... trop adolescent avec ses concours de bite...
et son projet de Spirou post-WW2 verra-t-il le jour ?
Tu spoil un peu à la fin de ton article... je crois qu’Émile ne veut pas trop qu'on en parle ;)
RépondreSupprimerMerci pour lui
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