Peynet et Le Tendre : Asterios (2022 - Dargaud)
On surfe sur La gloire d'Hera, chef d’œuvre de Rossi et Le Tendre, mais le fond n'est pas là... peut être un peu à la fin quand on découvre que le minotaure, finalement, ne massacre pas ses présents, et que la bête n'est pas celle qu'on croit. Mais le dessin reste (forcément) en dessous de Rossi (un demi-dieu), et surtout la mise en couleur (que je trouve assez laide).
Meurisse : Humaine trop humaine (2022 - Dargaud)
Pas toujours très bien vues, basées parfois sur une idée un peu bancale (un jeu de mot un peu pourri), ces chroniques sont très inégales... j'en attendais un peu trop sans doute.
De Brab et Falzar : Margot et Oscar (2023 - Tiroir / Jeunesse)
J'ai acheté ce bouquin pas nostalgie : très amateur de la série Margot et Oscar Pluche, un peu moins de Sac à Puces... Ce bouquin clôt les aventures du duo... inexistant tout le long de l'aventure, Margot se rapproche du cadavre d'Oscar, alors oui c'est un peu triste, mais c'est surtout triste que ça finisse comme ça. C'est une aventure de Margot, adolescente irascible et curieuse, mais qui a oublié son enfance emplie de ce chien fou.
Dommage que ça finisse comme ça.
Chambon : Ma famille imaginaire (2023 - L'agrume)
A fond la caisse dans les affres d'une famille un peu présente, oppressante (une famille quoi) dont l'autrice se libère en coupant des ponts. Le tout accompagné d'une psy, pour lever des gros loups, mais pour pas vraiment s'en sortir. Le dessin, bon, c'est un style.
Reuzé, Bernstein et Haudiquet : Les cons #4 (2023 - Fluide)
Les cons sont des gens, notre société fonce dans le mur et c'est drôle.
Tota : L'illusion magnifique #1 (2023 - Gallimard BD)
Ça partait bien, j'ai eu un doute... et puis non : la description de ce petit monde du comics à la fin des années 30 à NYC est très attachante. C'est un petit pavé, et en fin de lecture je me suis rendu compte que c'était un tome 1 ! Flûte, j'aime pas ça (je vais devoir tout me retaper à la sortie du 2 !).
Evrard et Morvan : Simone #2 (2024 - Glénat)
J'avais été un peu sévère sur le #1... C'est vrai que c'est trop écrit parfois... trop documentaire, avec des dates et des chiffres. Je me suis dit que les reporter dans un dossier en fin d'album aurait rendu le récit plus lisible... Et puis finalement, pourquoi ne pas les laisser s'inscrire dans notre lecture. Je pense que c'est quand même un bouquin pour les gamins, à leur faire lire (à les laisser lire), mais l'histoire racontée ici (close dans le prochain tome) est essentielle à nos mémoires.
Et y a un très beau clin d’œil en fin d'album !
On surfe sur La gloire d'Hera, chef d’œuvre de Rossi et Le Tendre, mais le fond n'est pas là... peut être un peu à la fin quand on découvre que le minotaure, finalement, ne massacre pas ses présents, et que la bête n'est pas celle qu'on croit. Mais le dessin reste (forcément) en dessous de Rossi (un demi-dieu), et surtout la mise en couleur (que je trouve assez laide).
Meurisse : Humaine trop humaine (2022 - Dargaud)
Pas toujours très bien vues, basées parfois sur une idée un peu bancale (un jeu de mot un peu pourri), ces chroniques sont très inégales... j'en attendais un peu trop sans doute.
De Brab et Falzar : Margot et Oscar (2023 - Tiroir / Jeunesse)
J'ai acheté ce bouquin pas nostalgie : très amateur de la série Margot et Oscar Pluche, un peu moins de Sac à Puces... Ce bouquin clôt les aventures du duo... inexistant tout le long de l'aventure, Margot se rapproche du cadavre d'Oscar, alors oui c'est un peu triste, mais c'est surtout triste que ça finisse comme ça. C'est une aventure de Margot, adolescente irascible et curieuse, mais qui a oublié son enfance emplie de ce chien fou.
Dommage que ça finisse comme ça.
Chambon : Ma famille imaginaire (2023 - L'agrume)
A fond la caisse dans les affres d'une famille un peu présente, oppressante (une famille quoi) dont l'autrice se libère en coupant des ponts. Le tout accompagné d'une psy, pour lever des gros loups, mais pour pas vraiment s'en sortir. Le dessin, bon, c'est un style.
Reuzé, Bernstein et Haudiquet : Les cons #4 (2023 - Fluide)
Les cons sont des gens, notre société fonce dans le mur et c'est drôle.
Tota : L'illusion magnifique #1 (2023 - Gallimard BD)
Ça partait bien, j'ai eu un doute... et puis non : la description de ce petit monde du comics à la fin des années 30 à NYC est très attachante. C'est un petit pavé, et en fin de lecture je me suis rendu compte que c'était un tome 1 ! Flûte, j'aime pas ça (je vais devoir tout me retaper à la sortie du 2 !).
Evrard et Morvan : Simone #2 (2024 - Glénat)
J'avais été un peu sévère sur le #1... C'est vrai que c'est trop écrit parfois... trop documentaire, avec des dates et des chiffres. Je me suis dit que les reporter dans un dossier en fin d'album aurait rendu le récit plus lisible... Et puis finalement, pourquoi ne pas les laisser s'inscrire dans notre lecture. Je pense que c'est quand même un bouquin pour les gamins, à leur faire lire (à les laisser lire), mais l'histoire racontée ici (close dans le prochain tome) est essentielle à nos mémoires.
Et y a un très beau clin d’œil en fin d'album !
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Spécial zinfest 2024
Bertrand : Fleurissent les antennes (2022 - Microgram)
Je me suis arrêté au stand sur une image me rappelant Marion Fayolle. Tous les trucs de l'autrice avaient l'air pas mal, et ce petit bouquin a tout d'un grand (scénario, découpage, dialogues, dessin). A suivre !
Cavalier : Douceur (autoédité)
Deux personnes qui pensent l'une à l'autre, qui ensemble se touchent, se serrent, rigolent... une histoire d'amour en douceur. A vivre !
Cavalier (neoncece) : La sérigraphie c'est quoi ? (2017 - autoédité)
J'avais une petite idée de la question, mais après la lecture de ce ptit livre, je ne savais plus rien.
Ayadi : Clotilde (autoédité)
En quelques saisons, éclos une histoire d'amour, sensuelle et tangible, qui va ordonner des choix définitifs... très beau toujours (sauf cette typo d'ordi très décalante).
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