Daly : The red monkey (2009 - L'asso)
Ro lala : les dialogues improbables et longs et chiants, la mise en scène laborieuse !!! Un succès chez les snobs.
Risbjerg et Pandolfo : Serena (2018 - Sarbacane)
On suit pendant trop longtemps le chemin de cette femme ambitieuse et destructrice... très peu de lumière dans ce récit, très déprimant.
Knickerbocker : Faded Glory (2021 - Huber)
Des chroniques de vies étasuniennes d'Amérique... brèves à très brèves... qu'on ne sait pas ce qu'y est raconté.
L'abbé : 3 cases #Résurrection (2023 - Fluide)
Ba je m'attendais à mieux... certaines pages ne sont absolument pas drôles.
Pendanx : L’œil du marabout (2024 - Daniel Maghen)
Un bouquin très Futuropolis... trop didactique / docu à mon gout. Mais toujours les très beaux dessins de JD.
Aeschbacher : On va tous crever (2024 - Helvetiq / Ebullition)
Ça se passe dans un immeuble, et chaque chapitre se déroule dans un de ses appartements, avec un peu le style de Pulp fiction. Les dialogues et monologues sont totalement déconnectés de la réalité : on est dans de la bédé à l'ancienne. C'est un peu raté aussi parce qu'on court au massacre systématique sans jamais de surprise (ah oui : tout le monde meurt)... Très décevant.
Dutreix : Mamie #1 (2024 - Dargaud)
Je suis fan de base de cet auteur, et même si j'ai quelques réserves (bizarre que les doutes de sa femme arrivent à ce moment alors que l'histoire de Dutreix et sa mamie dure depuis des lustres), franchement : c'est bien foutu, le dessin est extra, les rebondissements sont assez drôles.
Dupré la tour : Un amour de prof (2024 - Les requins / Bédécoeur)
Plus de BDcul aux requins : place aux Bédécoeur. Un vieux prof aigri retrouve gout à la vie à la lecture d'une lettre d'amour anonyme... Il retrouve un élan qui l'entraine sur les chemins en lisière du harcèlement, mais échoue à trouver l'identité de son amoureux.se. La fin est un rigolote, mais c'est aussi l'occasion de parler un peu bédé (le vieux l'enseigne).
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