Kosakowski et Chauvel : La route de Tibilissi (2018 - Delcourt)
Le dessin est bien, mais glacé et sans âme... avec des exagérations dans les expressions, comme dans le scénario qui dramatise le drame et perd les hommes. Je suis allé jusqu'au bout quand même, je n'y croyais pas.
Taling : Thoreau et moi (2019 - Rue de l'échiquier)
Oula, tout est à coté de tout... à oublier.
Edith : Moi, Edin Björnsson (2023 - Oxymore / Noctambule)
Edith se met dans la peau de l'ours d'un jeune homme pour raconter une petite saga, faite de jardinage, pêche, remède de sorcière et amitiés. C'est assez joli.
Fabre : Carole (2023 - Dargaud)
Une histoire de famille, avec ses secrets et ses non-dit, s'insère dans l'Histoire du peuple arménien. On est souvent en limite de la BD docu et de l'auteur qui raconte qu'il raconte... 2 genres que je fuis... mais au global, l'auteur s'en sort avec ce bouquin sensible qui plonge au coeur des histoires entremêlées.
Panaccione et Di Gregorio : L'homme en noir (2024 - Delcourt / Mirages)
Un gamin se bat contre ses rêves, et ses journées sont hantées par une ombre terrible... Le récit est vu par l'enfant, et le cercle familial est étrangement ténu...
Le fin est émouvante, forcément, mais je ne sais pas trop quoi en penser.
Risbjerg et Pandolfo : Copenhague (2024 - Dargaud)
Ce bouquin est un régal ! Le récit, les personnages, le style et le dessin : tout est parfait ! Le coup de cœur de l'année, tout au moins.
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