Je lis Spirou chaque semaine, et je dois dire que les histoires à suivre sont de plus en plus nazes, vachement influencées par le manga, très niaiseuses. Je n'ai jamais aimé Les tuniques bleues, mais là, c'est pas terrible du tout, et le Spirou germain est une cata.
Cette semaine, après bien des aventures : Gaston revient. Mais c'est pas la fête plus que ça. L'édito fait très vaguement influence à une gaffe (et encore, les Fabrices sont généralement très maladroits), le jeu est signé Lerouge (seul à ne jamais reprendre le héros de couv), et puis, bon, on a quand même ce haut de page :
Sti : Le malédictiophone en page 12bis du Spirou #4454
Le gag de Delaf est nul. Il ne fallait pas reprendre Gaston de cette façon bien sûr.
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