dimanche 18 juin 2023

Lecture #6-2023

Binet par Frémion (1984 - SEDLI)
Quelques dessins inédits, un entretien sans beaucoup d'intérêt au ton très désagréable... Pourquoi j'avais acheté ça moi ?

Piette et Lemmens : Les arrachés (2008 - Fluide)
Trash et fou, ces ptites histoires forment un récit drôle et vraiment chouette.

Blancou : Albert (2009 - Sarbacane)
Un homme se transforme en ours, mais en fait : redevient l'animal qu'il était, à regret. Il aimait bien cette société déshumanisée qui le méprisait... Mouais.

Le Gall : Théodore Poussin #14 (2023 - Dupuis)
J'ai le début de la série, que j'appréciais, et puis, va savoir pourquoi : j'ai arrêté de suivre. Elle me semblait terminée. Je déboule donc dans ce 14ème album, pas tellement perdu... sauf par le dessin de Le Gall qui s'est figé dans le temps pour le trait de son héros, mais dont l'encrage est devenu étrange pour les autre personnages. Certaines (peu) cases sont très moches, d'autres au trait épais semblent être des zooms de grandes cases abandonnées. Que dire des saveurs croisées d'eau de boudin en fin d'albums... qu'elle lorgne vers un pseudo romantisme auquel personne ne croit.


Cailleaux et Bocquet : Le passager du Polarlys (2023 - Dargaud)

Le dessin est magnifique... un peu dans la veine de son matelot Gus, et surtout en dehors des sentiers rebattus de la ligne clarifiée. C'est un polar, alors j'ai eu du mal à accrocher, quand même.
Mais c'est si beau.

Micol : Supers (2023 - Cornélius / Kim)
J'adore le trait tout de traviole de Micol. J'avais vu passer ces illustrations sur le site d'une galerie, n'imaginant pas un tel recueil, et avais commencé à compter mes billets, mais non, quand même, je ne suis pas assez riche. Suffisamment pour ce petit livre cornélien (trop petit).

coll : Kim (2023 - Cornélius / Kim)
Ce Supers de Micol est le 3ème opus de cette collection, dont ce numéro collectif n°0 ouvrait le bal. On y trouve les auteurs qui alimenteront la collec, et donc : pas sûr de m'y précipiter forcément... peut être pour Cossé, ou Crabières, ou Maillard.

Delestret : Le dernier quai (2023 - Bamboo / Grand angle)
Des êtres en errance doivent trouver la paix pour quitter définitivement le monde des vivants. Ils ont un indice (mouais) et un passeur. Le passeur, évidemment n'est pas celui qu'on (qu'il) croit.
Ça tire malheureusement un peu en longueur à plusieurs moments, et puis, bon, je ne suis pas super fana du dessin.

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