Berthet et Cossu : Fin de bail (2021 - Ed du tiroir)
5 récits courts parus dans différentes revues (dont Aïe et Circus) et 2 déjà compilés dans Rêve de chien... des trucs des années 80, plutôt pas mal.
Cestac : La vie d'artiste (2002 - Dargaud)
Je trouve ça toujours aussi nul... Ça me fait penser à du Margerin ! Sans aucun intérêt.
Barral et Benacquista : Dieu n'a pas réponse à tout #1 (2007 - Dargaud)
Mouais, ça aurait pu être bien... mais toutes les histoires tombent un peu à plat.
Thompson : Gunseng roots #3 à 6 (2020 - Thompson bros)
J'avais acheté les 2 premiers fascicules à un stand néerlandais à Angoulême dernier, je me suis fait une provision supplémentaire (pas intégrale) au même endroit cette année. C'est en anglais, ça raconte l'histoire de cette racine, implantée il y a 300 ans en Amérique... dans la région où a grandi Thompson... qui raconte aussi son enfance, le travail de cette racine, la place qu'elle prend. C'est beau, c'est en anglais alors je pige pas toutes les subtilités, mais j'adore.
Fauvel : La nuit est mon royaume (2020 - Rue de Sèvres)
Deux filles montent un groupe de rock avec rage et talent... mais on ne croit pas à cette aventure, du tout. Et la fin, un genre de pardon après la trahison, tombe un peu à plat : et après ???
Von Kummant et Von Eckartsberg : Gung Ho #5 (2021 - Paquet)
Un peu le même défaut que d'hab... la psychologie, les dialogues... On prend de la distance alors qu'avec les drames qui se jouent, on aurait du être bouleversé. Bon, l'arrivée des méga-singes... c'est pour faire monter la pression, parce que ça n'a aucun sens.
Holleville : Immonde ! (2022 - Glénat / Mille feuilles)
J'ai découvert l'existence de ce livre à la remise du prix Tournesol à Angoulême dernier. Pas bien pigé le coté écolo/social du livre qui lui a permis d'obtenir le prix... On est dans le nucléaire, mais du naturel... Y a un patron qui se fiche de la santé de ses employés... Un peu pas très crédible l'histoire du labo secret.
La levée des monstres finale est grotesque et trop longue, certaines cases sont illisibles, très mouais quand même.
Trust : Andzia (2023 - La cerise)
Le bouquin, comme toujours avec Guillaume, est très beau. Les illustrations des leçons poétiques de Mankowski sont des genres de collages, donnent une impression de très beau, alors que finalement pas tant quand on s'y attarde. L'auteur polonais est tout de même très doué.
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