Après le musée haut (le vaisseau Moebius), c'est le temps du musée bas, de l'autre coté de la Charente.
Une fois passé devant la statue de Corto, un genre de gribouillage au sol le représente comme sur la première affiche du festival, en 74.
Bon, c'est bizarre... ça le sera moins le soir où tout sera recouvert de petites bougies. Mais bon, j'étais plus là pour le voir. Ça devait être joli vu d'un fantacoptère.
A Angoulême, des tas de collages rappellent que la liberté d'expression, c'est par dire de la merde
Et puis les puceaux peuvent faire des dessins dans leurs petits carnets pour se pogner... on n'est pas obligé d'en faire des bouquins (ce serait le cas de pas mal de psychothérapies sur des journaux intimes).
Bref, de l'autre coté de la Charente : le quartier jeunesse, avec Marguerite Abouet à l'honneur.
On y trouve ses carnets
Et ceux de ses dessinateurs... Donatien Mary :
Singeon :
Clément Oubrerie :
Mathieu Sapin :
Dans un espace chouette pour les gamins, surtout qu'un vrai espace d'animation existe en sortie d'expo.
Au musée, on se rappelle
Et là, quand même, y avait de bons bouquins...
Chaque année montre le grand prix et l'album primé
Avec le FOREST de mon coeur
L'expo Fabcaro, ouverte l'année dernière est toujours là
C'est allé assez vite, vu que j'ai lu dejà la sorte de catalogue tiré de l'expo, édité par 6 pieds.
Y a juste Pop Rock Wizz, pas encore finie, que je n'ai pas vu !
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