A l'arrivée, j’emmène mon correspondant parisien découvrir l'expo off des Éditions de la Cerise. Guillaume est là avec un couple d'amis, et on cause du bestseller radioactif de Blain. On cause décroissance et pâturages.
On fait un tour au nouveau monde, pas si nouveau que ça, d'autant que le terme a remplacé "new york" sur la signalétique du festoche... oui pasque les indiens ne comptent pas.
Après une livraison de livres au vaisseau Moebius, je me pope, flope & wizz a la cité.
Un tour vite fait à l'expo Tarquin et c'est l'heure des couleurs de Fior au conservatoire
Il parle du rêve à la source de son dernier album, il parle d'Hypericon, et ça m'a donné envie de le relire (je ne l'ai pas aimé à sa juste valeur).
Je suis l'interviouveuse (commissaire de Couleurs) jusqu'à la salle Nemo pour la rencontre avec Isabelle Merlet qu'elle anime également.
S'assoient au 1er rang Brigitte Findakly et Isabelle Rabarot puis Elvire De Cocq. La coloriste revendique toujours leur statut d'artiste... elle explique pourquoi, et elle a bien raison.
C'est une masterclass, alors elle parle technique : elle est une bille sur photoshop dont elle n'utilise que 4 outils, et pense à revenir aux bleus.
En route vers la traditionnelle remise du prix Tournesol, je file saluer Schwartz en dédicace chez Dupuis où une file de chasseurs attend patiemment un énième dessin (pas un seul gosse !).
Je rate quelques discours, sauf celui de Marine Tondelier
Et puis sur la route d'un verre, je croise Guérineau en train de respirer vapoter... et la journée est finie, devant une pizza et une crêpe pas bonne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire