Alors bon, j'ai tenté de lire sans à priori, et outre que l'histoire commence avec une référence BD (parce que la BD va être le centre du truc, et qu'on veut bien nous le faire sentir, à nous lecteurs débiles), j'ai trouvé que le mutisme de Spip était une vraie respiration après ses insupportables bavardages de Schwartz.
Ensuite, bon, le rythme est très lent et le récit aurait mérité quelques raccourcis... et même : la surexplication des références nuit à l'humour (je rigole mal quand on me parle comme à un con). Par exemple, quand Spirou se pose la question sur son age pour choisir la réduction sncf, une case aurait suffit, la suivante casse tout.
Je vais continuer à lire le Spirou chez les fous, mais vraiment pour Libon... et on verra avec quelle habilité Jul met en œuvre les références BD...
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