Rabaté : Sous les galets la plage (2021 - Rue de Sèvres)
Je crois bien n'avoir jamais été déçu par un bouquin de l'artiste. Par ses films : oui (j'attends quand même son film en tournée d'avant-première interminable avec impatience) ! Mais par ses BD mais non. Et connaissant le bonhomme (moi) c'est assez rare. Bon, c'est un récit très classique, mais qu'attends-je finalement ? Quand j'ai eu peur que ça se termine mal, j'étais à deux doigts d'être déçu, et quand ça se termine fleur bleue comme une comédie romantique américaine : devrais-je aimer ça ? Allez oui... L'amour ne fait de mal à personne. C'est bien écrit, bien mis en image... Merci Rabaté !
Tiens ! En faisant mes comptes des invités "BD" de radio france : nib de Rabaté ! Et même : dans l'enceinte de l’aristocratie à bulle : jamais Rabaté n'a été pressenti pour un grand prix !!! La vie n'est pas une BD de Rabaté.
Panaccione d'après Pennac : Cabot-caboche (2021 - Delcourt)
Un bon Panaccione (sa 3ème BD de l'année !), un récit sympa (avec ses attachants personnages récurrents) malgré un fin neuneu (qui gâche un peu le souvenir de cette lecture).
Durieux et Lapière : Le faux soir (2021 - Futuropolis)
Je n'achète quasi-plus de BD Futuro, ou de BD reportage. Mais là : Durieux dans le coup, l'Histoire du soir et de la résistance... Allons-y.
Un pas si ptit canular en temps de guerre, pour détourner une presse détournée, le grand courage des résistants : formidable aventure racontée avec l'aventure de son écriture... Et finalement : heureusement, car je n'aime pas du tout la façon dont Durieux intègre des photos à ses dessins depuis quelques temps (ici pour les séquences du passé). Très émouvant.
Le Boucher : 47 cordes #1 (2021 - Glénat / 1000feuilles)
C'est le nouveau prodige de la BD, avec Bienvenu et Monde, au trait vraiment trop manga pour moi (des actions incompréhensibles, des mouvements exagérées au possible). Le dessin est si lisse, les décors pas fouillé (les murs sans lézarde, les rues sans papiers, les pièces immenses dans des maisons bien rangées)... pas facile de rentrer dans ce monde aseptisé. Et puis ce monde de manipulations à outrance manque un peu de subtilité. Bon, même si ces manipulations sont variées : celle mystérieuse du mystérieux caméléon, celle issue du pari débile des musiciens, et celle inconnue des amis musiciens de sa sœur...Mais tout ça pour quoi ? Hyper déception.
Je crois bien n'avoir jamais été déçu par un bouquin de l'artiste. Par ses films : oui (j'attends quand même son film en tournée d'avant-première interminable avec impatience) ! Mais par ses BD mais non. Et connaissant le bonhomme (moi) c'est assez rare. Bon, c'est un récit très classique, mais qu'attends-je finalement ? Quand j'ai eu peur que ça se termine mal, j'étais à deux doigts d'être déçu, et quand ça se termine fleur bleue comme une comédie romantique américaine : devrais-je aimer ça ? Allez oui... L'amour ne fait de mal à personne. C'est bien écrit, bien mis en image... Merci Rabaté !
Tiens ! En faisant mes comptes des invités "BD" de radio france : nib de Rabaté ! Et même : dans l'enceinte de l’aristocratie à bulle : jamais Rabaté n'a été pressenti pour un grand prix !!! La vie n'est pas une BD de Rabaté.
Panaccione d'après Pennac : Cabot-caboche (2021 - Delcourt)
Un bon Panaccione (sa 3ème BD de l'année !), un récit sympa (avec ses attachants personnages récurrents) malgré un fin neuneu (qui gâche un peu le souvenir de cette lecture).
Durieux et Lapière : Le faux soir (2021 - Futuropolis)
Je n'achète quasi-plus de BD Futuro, ou de BD reportage. Mais là : Durieux dans le coup, l'Histoire du soir et de la résistance... Allons-y.
Un pas si ptit canular en temps de guerre, pour détourner une presse détournée, le grand courage des résistants : formidable aventure racontée avec l'aventure de son écriture... Et finalement : heureusement, car je n'aime pas du tout la façon dont Durieux intègre des photos à ses dessins depuis quelques temps (ici pour les séquences du passé). Très émouvant.
Le Boucher : 47 cordes #1 (2021 - Glénat / 1000feuilles)
C'est le nouveau prodige de la BD, avec Bienvenu et Monde, au trait vraiment trop manga pour moi (des actions incompréhensibles, des mouvements exagérées au possible). Le dessin est si lisse, les décors pas fouillé (les murs sans lézarde, les rues sans papiers, les pièces immenses dans des maisons bien rangées)... pas facile de rentrer dans ce monde aseptisé. Et puis ce monde de manipulations à outrance manque un peu de subtilité. Bon, même si ces manipulations sont variées : celle mystérieuse du mystérieux caméléon, celle issue du pari débile des musiciens, et celle inconnue des amis musiciens de sa sœur...Mais tout ça pour quoi ? Hyper déception.
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Brandoli et Queirolo : Rebecca (2021 - Mosquito)
Super nouvelle que la réédition de ce bijou de la BD, une de mes BD favorites... En espérant la réédition d’œuvres inédites en France du duo, ou de la dessinatrice en solo... Et en espérant un foirage moins honteux de la couv (où est passé le noir ?)
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