à la cité de la musique où trône Renaud
et à la philarmonie où Jarre accompagne Salgado en Amazonie.
La journée :
On commence avec Tintin à Belleville
puis Babelville
Un joli lotissement sans voiture de maisons coquettes pour gens ultra-friqués... On a reconnu le banc où le Durys/Subutex de Cathy Verney se réveille d'une cuite.
Moi, aux buttes Chaumont, je voulais absolument voir le pont des suicidés qu'on visite dans On connait la chanson... mais je ne l'ai pas reconnu... et surtout : pas d'André Dussollier !
Du coté de La Crimée, on cherche l'église cachée...
On y trouve un vieux prêtre, et sur la table des donc : 15 bouteilles d'huile de tournesol (?)
A la cité de la musique, on commence par le studio Pierre Henry...
on joue un peu avec les sons
L'expo Renaud est quand même plutôt chouette
Mais
Je savais que Laureline avait dessiné des trucs pour, mais je ne m'attendais pas à une telle profusion, ni à cette maitrise, cette élégance, cette beauté en somme.
Suivez le guidon !
On assiste un peu à un ptit concert d'accordéon... plutôt balkan que titi parisien...
Les guides "classiques" sont saoulés par les boucles de musique de Renaud, par la présence de musique populaire (ça va être quoi la prochaine fois ? Du rap ?) et encouragent les vieilles à alerter la direction (parce que eux, on ne les écoute pas !).
Mon dieu !
Direction Philarmonie :
Les gars de la sécu de la Philarmonie sont hyper prévenant, vachement sympa : ils nous conseillent de prendre des ptits chemin détournés pour aller de Philarmonie à Cité, de monter sur le toit de la Philarmonie (d'où on voit ?) et de passer sous le mur pour voir Paris plutôt que le périph (pas con)
En descendant : de la zique !
On check : dans 1h, Supersonic au Trabendo
Après un burger dans la roulotte, Korto
Puis Baron Crâne
sans chanteur... un peu lassant...
Dernier coup d’œil vers l'interminable escalier qui nous a descendu du toit depuis la cour du Trabendo.
Fin de journée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire