Gipi : Vois comme ton ombre s'allonge (2014 - Futuropolis)
Décidément ! D'une richesse graphique et narrative, qui nous emmène dans les tréfonds de l'âme... ce livre est triste et bouleversant, humain et poignant. Pourquoi Gipi n'est pas à la place qu'il mérite ? Pourquoi les médias se gargarisent toujours des mêmes bon clients à l’œuvre à l'avenant ?
Rica et Ricard : Virus #1 (2018 - Delcourt / Neopolis)
Bavard et chiant. Long à se mettre en place... aucune tension dramatique dans l'arrivée de la cata... le découpage du scénario a été pensé ? La vie est plus palpitante que ce récit, sauvé par rien.
Mousse et Baloup : Cyclone (2019 - Sarbacane)
Je découvre Mousse, et c'est vraiment très bien. Mais l'histoire... sans surprise, sans souvenir. On est sur une ile, mais ça ne sert à rien à l'histoire, et on n'y est pas une seconde ! On suit un pervers et sa stokolmeuse... et alors ? Personne !
Pont et Loisel : Un putain de salopard #1 (2019 - Rue de Sèvres)
Il n'y a rien à sauver dans ce livre caricatural sur tous les points... tout est attendu, déjà vu, ridicule...
Piquet : La mécanique du Sage (2019 - Atrabile)
Habituellement ravi, aujourd'hui moins. Le récit se déroule essentiellement à l'écoute d'un narrateur neutre, dans un milieu bourgeois à vomir. Il y a une enfant, alors c'est un peu sensible.
Blancou : Un auteur de BD en en trop (2020 - Sarbacane)
Mouais... chuis un peu déçu quand même... l'objet est beau, le dessin vraiment bien... mais on a raté le bouquin revendicatif et révolutionnaire. C'est drôle quand même, bien vu aussi.
Lucas : Hitchcock en stock et Merde ambiante (2019/2020 - RLC)
Très référencés, des ptits cotés surréalistes, super drôles ! Deux petits fanzines à se procurer de toute urgence auprès de l'auteur.
Bon et puis, je sais pas... c'est ce confinement... je ne mange même plus de chocolat ! Je feuillette mes BD préférées et tente de finir ma pile de livres en retard pour la bibli (fermée sine die) mais je n'arrive pas à m'y mettre... je ne lis plus rien, et expédie :
Singelin : PTSD (2019 - Ankama / Label 619)
Ça met un peu des plombes à démarrer, c'est assez joli, mais bon...
Matsumoto : Éveil (2019 - Kana)
J'ai découvert son œuvre à Angoulême. Dargaud a profité de cet évènement pour éditer ce bouquin de 2002, c'est beau, ça à l'air bien... je l'ai commencé une demi-douzaine de fois... et puis bon, plus le gout à rien : je l'ai reposé...
Matsumoto : Le rêve de mon père #1 (2018 - Kana)
Ouais pareil... j'y reviendrai un jour sans doute
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