Moynot et Lizano : L'année dernière (2006 - Delcourt / Mirages)
Un récit qui se déroule par séquences annuelles... Lizano apporte de la légèreté : pas un seul cadavre ! Une flaque de sang de dessous la porte, mais c'est tout. On suit un musicien en retenu (Moynot ?) au milieu de sa famille, de ses amis... c'est très humain.
Cabot : Salon Dolorès & Gérard (2019 - Michel Lafon)
Une petite comédie sentimentale plutôt bien jouée... assez sensible, parfois amusante... ne boudons pas notre plaisir.
Merwan : Mécanique céleste (2019 - Dargaud)
Plein de ptits trucs qui m'ont géné de prime abord : des dialogues improbables ("un rêve qui me visite" ou "un rêve récurrent"), des gestes exagérés (mais qui pointe du doigt qq à 2 m de soi ?), des situations impossible (le bateau des pirates qui arrive de nulle part sans que personne ne l'ai perçu, le jeu qu'on arrête sans avoir vu qu'il n'était pas fini !!), des leçons grosses comme des maisons (le façonnage du machin qui se pète).
Mais les 3 manches de la balle au prisonnier sont hyper prenantes, vachement bien menées. Ça sauve sans doute le bouquin, mais n'en fait pas un super bouquin (de la trempe de LastMan). Dommage (le trait est très beau).
Davodeau, Joub et Hermenier : Les couloirs aériens (2019 - Futuropolis)
Enorme surprise pour moi ! Je craignais un énième bd-reportage, dont le principe me sort par les yeux (y a un marché pour ça, des gros médias pour relayer ça : alors un pan de l'édition y plonge). Mais Davodeau replonge dans ses Quelques jours avec un menteur... et c'est très beau, touchant, émouvant !!! Davodeau avait été un de mes auteurs favoris... je me le rappelle à présent.
Davodeau, Joub et Hermenier : Les couloirs aériens p31, 34 et 103
Zerocalcare : Macerie prime (2017/2018 - Bao)
Un cadeau ramené d'Italie, en italien... pas facile à lire... pas vraiment lu du coup.
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