Hardy et Yann : La patrouille des libellules #3 (1988 - Glénat / Sale caractère)
Enfin déniché à un prix correct : je termine enfin la série... non terminée ! Pourrait-on dire que Yann ou Hardy n'ont jamais rien fait de mieux ? Presque sûr. Pourquoi ne pas avoir terminé la série avant de se lancer dans autre chose ? Aucune idée.
Rifo : Hiroshiman sauve le monde (1998 - Zébu)
Acheté pour combler une grosse lacune... mais rien ne vaut Maester en fait.
Prudhomme : La farce de maitre Pathelin (2006/2017 - L'an 2)
Acheté (pour moi), offert, racheté (en trop petit format), lu et relu. C'est globalement toujours très beau. Un trait vibrant.
De Metter : Marilyn (2009 - Casterman)
Lu il y a longtemps, eu envie de le relire... trouvé chez un bouquiniste (à Bécherel) : toujours très bien, même si la fin est un peu (un peu) décevante.
Moynot : L'original (2016 - Casterman)
Du pur Moynot : violent et sombre, désespéré et sans issu... On apprend beaucoup (on a les bases) en lisant l'introduction où l'auteur met en place les évènements dans leur contexte.
Brüno et Thoret : Le nouvel Hollywood (2016 - Lombard / BDTK)
3 ans, donc, que ce bouquin traine sur mes étagères... trop de textes, pas écrit clairement : maintes fois reposé. Les vacances ont du bon : pour qui aime le ciné, ce bouquin est vachement intéressant, à lire comme un article documentaire des Cahiers. Les illustrations sont extra, et quand je supputais qu'il y avait trop de texte : Brüno est obligé de mettre en scène l'auteur pour raconter ce petit renouveau qui détruit Cléopatre, et qu'atomise Star wars avec le début du merchandising et de la com'.
Porcel et Zidrou : Chevalier Brayard (2017 - Dargaud)
Des chouettes personnages, dans un album très classique qui aurait pu être le début d'une longue série... se laisse lire agréablement.
Aseyn et Boulet : Bolchoi Arena #1 (2018 - Delcourt)
Dessin style manga, dans un univers geek... où un jeu se construit pour devenir un genre de réalité... J'ai tenu presque jusqu'à la fin.
Sattouf : L'arabe du futur #4 (2018 - Allary)
Y m'énerve surtout du fait de son parasitage des médias. Il prend toute la place, toutes les places.
Son dessin rond est très joli, son style narratif n'est pas bien novateur, et les autobio me saoulent profondément... mais j'admets que cette expérience, d'un point de vue documentaire, est très enrichissante (même si je ne comprends pas qu'on puisse ainsi de se rappeler de toute cette enfance). Et l'album se clos sur un putain de truc qu'on a envie d'en savoir plus.
Grosjean : Un gentil orc sauvage (2018 - Delcourt / Shampooing)
Dans la collec de Trondheim : un erzatz de Trondheim. Donc ça se lit bien, c'est assez drôle, parfois excellent, un chouia léger au niveau du dessin... mais est-ce important à l'heure où Bagieu est reconnue internationalement ? Non, le dessin on s'en fout. C'qui faut, c'est bien passer à la télé (oua d'accord, "télé" ça se dit "internet" maintenant, ok).
Bon franchement : un chouette petit livre cocasse.
Nine et Zentner : L'amirale des mers du sud (2019 - La Cerise)
Réédition d'un vieux bouquin de commande de Carlos Nine, introduit avec panache par son fils. Il pêche un peu par le scénario, parce que le dessin de Nine est extra, bien avant son trait fantasmagorique.
Le bouquin est très beau, comme ceux que savent faire les gars de La Cerise.
Kastelnik : La brasserie des copains (2019 - La déviation)
Un bouquin retraçant cette fameuse journée de 1968 où René Goscinny fut mis en accusation par ses dessinateurs (et d'autres).
Il ne reste plus beaucoup de témoins, mais l'enquêteur a a utilisé sa biblio et les interview des absents. Il manque quand même quelques confrontations... A lire les dires des auteurs, il ne s'est pas passé grand chose de bien grave... et pourtant Goscinny a été abattu... On aimerait en savoir plus...
C'est très intéressant, et si Goscinny en ressort grandi, on n'a pas trop envie de connaitre Uderzo. Ou Charlier.
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