De Metter et Lacoste : Le curé (2011 - Casterman)
Des thèmes vus et revus ! Aucun intérêt. Et puis le dénouement : les auteurs parient sur le fait que les enquêteurs soient vraiment vraiment trop cons... absurde. Cette intégrale reprend celle éditée chez Soleil qui reprend les 2 tomes parus au Triskel... quelle aventure. Je ne retrouve rien ici de ce que j'avais aimé dans Marilyn.
Gabrielle Piquet : Les enfants de l'envie (2010 - Casterman / écritures)
La découverte de l'année alors ! Après Trois fois un et La nuit du misothrope, ce bouquin confirme le talent narratif de l'auteure. Très beau, très prenant, très bien.
Jonathan Muñoz : Le dessein (2017 - Glénat)
Un dessinateur qui raconte son métier de dessinateur... ça me saoule toujours un peu (comme les cinéastes qui racontent le tournage d'un film). L'auteur s'est un peu élevé au dessus de lui et de son nombril, et joue un peu avec le médium, c'est assez bien vu. La lecture finale de la BD mythique dans la BD est trop longue... il aurait mieux valu l'évoquer, comme il l'a fait avec sa nouvelle série à succès (dont on ne comprend pas le succès... et dont on arrive à se demander : mais, le succès, finalement, c'est bien pour une BD ?)
Berthet et Hautière : Perico #1 et 2 (2014 - Dargaud / Ligne noire)
Une histoire d'amour, de mafia, de gros sous, de règlement de compte... oups : j'ai divulgâché !
C'est Berthet, alors : ça se lit, sinon : ça a déjà été vu et revu.
Burniat et Damour : Le mystère du monde quantique (2016 - Dargaud)
Quand je pense que mon libraire m'en avait fait l'éloge... tout ça parce que j'avais aimé La passion.
Le bouquin commence bien pourtant... jusqu'à ce qu'il commence à nous expliquer la physique quantique. Nébuleux, chiant, rigoureux : aucun intérêt.
Claire Braud : Mambo (2011 - L'association / Eperluette)
Une écriture poétique... à suivre
Adrien Demont : Feu de paille (2015 - 6 pieds / Plantigrade)
J'avais un peu peur... Je n'avais lu que ses courts récits dans Clafoutis ou Nicole... Mais finalement, c'est assez écrit, même si j'ai abandonné avant la fin.
Julio Ribera : Jeunesse bafouée (2005 - Bamboo / Angle de vue)
J'aime assez Le vagabond des limbes, et le style un peu bancal de Ribera... Ses défauts sont trop présents aujourdhui, mais ce volet de sa trilogie autobio m'a tout de même intéressé. Surtout que j'ai découvert qu'on était en pleine trilogie. Je pense que le tome sur son arrivée en France et à Pilote me ravira plus.
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