L'expo Eisner a débuté à Angoulême pour le gros festoche, en début d'année. J'y fous pas les pieds, alors, comme l'occaz s'est présentée aujourdhui : j'y suis allé. Eisner, quand même, on a beau le répéter : c'est un Maître. Un inventeur, un travailleur, un curieux. Il s'est sans doute fait doucement assister sur le Spirit, mais son œuvre tellement personnelle nous montre le talent qui sort de son âme par le bout des doigts.
Je me suis rendu compte du décalage (dans les moyens) entre le festival et la cité : l'expo est toute chiche. La scénographie réduite, la mise en scène, la mise en valeur, les infos et références lacunaires... Un expo toute petite pour Eisner ! Quel dommage !
Bon, voyons le bon coté des choses :
un clin d'oeil à son éditeur.
des jolis crayonnés :
des pages de bonheur :
et là : un truc drôle ! Je me suis dit que le type au nœud pap aurait pu être Morris...
et en relevant le regard, "Morris" est le premier nom qui me saute au visage !
Dans la galerie permanente, un reste de fresque réalisée en public par Balez :
Balaise !
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