Boris Miroir et James : Backstage : Pierre qui roule (2011 - Fluide)
Mick et Keith se sont rencontrés sur un quai, bon d'accord... mais de quoi ont-ils parlé ? de quoi révaient-ils ? Ils n'ont pas tout de suite pensé aux Rolling Stones... évidemment. Ils ont d'abord bien glandé. Les amateurs des Stones trouveront ça et là des petits clins d’œil très sympa.
Parce que c'est un bouquin très sympa (plus que James, dont je garde un très mauvais souvenir de son accueil dédicaçatoire).
Casanave et Rochier : Tu sais ce qu'on raconte (2017 - Warum)
L'exercice n'était pas facile : raconter une histoire en changeant de point de vue (de personnage) à chaque case. C'est dommage que chacun de ces points de vue n'existe que par le regard qu'ils ont de "l’évènement". C'est dommage qu'ils ne racontent pas aussi une autre histoire. Mais bon. On a un petit livre plutôt bien écrit, quand même pas mal dessiné, avec un récit qui se tient, et un beau rebondissement. Mais il me reste quand même ce sentiment que les auteurs sont passés à coté de l'exercice.
Tikkanen : Kanerva sur le pont (2016 - Les requins / Minou minou)
Une petite fille accompagne sa grand mère lors de ses derniers instants... C'est plein d'amour et d'innocence... mais malheureusement assez peu émouvant. Chuis resté un peu à coté, étrangement.
Bouzard et Bras : Le rugby (2017 - Le Lombard / BDTK - Culture)
Je ne raffole décidément pas de cette collection. J'ai acheté çui-ci pour le ton de Bouzard. C'est plutôt marrant, parfois assez intéressant (même pour moi, pour qui le sport est étranger). Mais... placer le sport en "Culture" est très surprenant. Sociologie ou Economie... le sport occupe tellement de place dans les médias ! Trop !!
Duhamel : Le retour (2017 - Bamboo / Grand angle)
Mouais. J'en attendais beaucoup... mais suivre l'histoire de ce mégalo peu attachant ne m'a pas intéressé. J'ai cru à un ressaut d'humanité au moment de la lecture de la lettre posthume du père... mais non : pas de surprise : cet orgueilleux est orgueilleux du début à la fin, rien de bouge, et on n'apprend rien.
Menu : Lock groove (2017 - Fluide glacial)
J'ai les 2 tomes parus à l'asso, Mune comix et lu Rock strips... quel besoin avais-je d'acheter cette compil ? Hé bin... C'est un bel objet !
Et j'ai tout relu et readoré.
Panaccione et Albertini : Chronosquad #2 (2017 - Delcourt)
Allons bon. Me vla prit à nouveau dans des séries mainstream (après Lastman). Bé, je goûte mon plaisir. Ça rebondit, ça avance, ça questionne... Une bouffée de fraicheur.
Les attitudes et expressions exagérées sont un peu moins présentes que dans le #1, le dessin est au service de l'équipe d'intervention spacio-temporelle. Ça aurait pu être super compliqué, mais non : c'est bien fichu... C'est en 4 tomes seulement (ouf : Infinity 8 m'est tombé des mains).
Cestac : La vie en rose (1998 - Dargaud)
Bon. Je n'ai jamais été fan. Comme de Margerin tiens ! Je ne comprends pas que ça puisse susciter le moindre intérêt. Je trouve qu'il n'y a rien. Qu'il ne se passe rien. Que le lecteur n'est pas impliqué : tout est montré et expliqué, ré-expliqué. Le ptit logo indique "Cestac pour les grand". Mais c'est plutôt "Cestac pour les nuls". Je ne suis pas allé à la fin... perdu déjà trop de temps.
Ayroles : Notes mésopotamiennes (2000 - L'asso / Mimolette #9)
30 petites planches, très belles, de jeux graphiques et narratifs.
Je relis Ayroles en ce moment bicause : Regard 9. Et puis y m'avait parlé de trucs qu'il veut mettre en scène pour l'expo, et que je ne voyais pas... le marabout des titres de livres (note #21) et son truc en relation avec sa collectionnite de choses trouvées dans les livres empruntés à la bibli (note #22). Tiens, aussi : ce dialogue de La marque jaune repris dans Une affaire de caractères ! J'ai relu son bouquin avec encore plus de plaisir que la première fois... sans trouver ce dialogue (pour croiser la recherche, j'avais sorti le Blake & Mortimer, mais sa lecture m'a semblé une montagne).
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