Bon à force, vous avez du vous en rendre compte : j'adore Schwartz. Pour son trait très personnel, entre Hergé et Franquin avec un zeste de Tillieux... un peu en déséquilibre (tiens, comme Micol) mais toujours super bien construit. Il assume ses influences, et en parsème ses bouquins. J'adore cette démarche. Et puis c'est avec lui que Yann fait le Yann que j'aimais.
Et puis ce qu'il fait énerve les fidèles de l'église de Chaland... ça m'amuse.
La couv du n° de Noël annonce l'arrivée du maitre des hosties noires dans l'hebdo Spirou !
bon, fan je reste, mais je reconnais quelques faiblesses de-ci de-là, tant du point de vue du découpage que de la narration, et des points faibles de Yann : les dialogues & le tartinage de références culturelles (qui au lieu d'installer l'histoire dans son contexte historique en éloigne le lecteur aveuglé par une encyclo placée entre ses yeux et le bouquin).
RépondreSupprimerle dessin de Schwartz reste excellent
vivement la suite
la smaine prochaine quoi