En relisant Rhapsodie hongroise, je me suis arrêté sur cette scène. D'abord, parce que les femmes de Giardino sont très sensuelles. Et puis surtout parce que cette rousse en vert m'a fait penser à Toulouse-Lautrec. Quelle ne fut pas ma surprise de le trouver en bas à gauche de l'image !
Giardino : Max Friedman #1 p54
Toulouse-Lautrec
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