Oh joie !
Quand le journal Spirou arrive à la maison, je l'arrache aux mains de mes fils 15 secondes pour y débusquer les trésors avant de le leur rendre à regrets (je ne supporte pas leurs pleurs).
Aujourdh'ui, premier encart d'Alec Séverin !
Cet homme est un génie. Un graphiste hors-pair, un dessinateur de talent... raconteur d'histoire ? Faudrait qu'il puisse s'y remettre !!
Un petit journal de 4 pages, dont on ne sait trop qui en est le rédacteur.
... mais qui m'a fait oublier par sa fraicheur, la lourdeur du bouquin de Brüno, dont on m'a dit tant de bien (et que je guettais avec impatience). Mais moi : Nury ou Dorison, j'ai vraiment du mal. Il n'y a pas d'envol, pas de profondeur, de recul. On est dans le premier degré, et ici : dans la violence aveugle, à fond. Ça m'a fait penser au Django de Tarantino que je n'ai pas beaucoup aimé, pour ça. C'aurait été dessiné par un dessineux vulgaire comme on en trouve plein les catalogues de Dargaud/Delcourt/etc, ç'aurait été nul. Là, bon, Brüno, on l'aime, donc on l'excuse, mais déjà : ça fait 2 (après Atar Gull). Faudrait voir à faire de bon choix maintenant (retrouver Appollo tiens !). Comme Rossi (pour revenir à ma détestation première des deux scénaristes).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire