C'est une des rares femmes à avoir eu le grand prix de la ville d'Angoulême, qui est, rappelons le, la distinction suprême des dessinateurs de petits mickey. J'ai toujours pensé qu'elle l'avait obtenu pour cette histoire de parité et pour son rôle joué dans le monde de l'édition. On ne pouvait pas le donner à Robial, vu qu'il n'est pas auteur, qu'il n'aime pas la BD, et qu'il est... disons... bref.
Futuro a édité de belles choses, mais aussi des trucs terriblement nazes. Futuro a été le modèle de l'asso, et Robial, celui de Menu qui est aussi... bref.
Menu : Robial, le mickey maudit in Gnognottes
Tout ça pour dire que : si Cestac a apporté un truc à la BD, je ne l'ai pas vu, ou je n'ai rien compris à cet art !
Mais à Angoulême, on vote pour des potes, pas pour des Artistes !
Je n'ai pas l'image, mais Jano la dessine dans son Paname.
Rodier fait ici allusion au démon de midi, comme Goossens le plaçait au hasard d'une de ses bibliothèques.
Rodier, Cornillon et Ayroles
les images en grand :
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