jeudi 26 janvier 2012

Angoulême #39 - épisode deux

La librairie francophone est diffusée samedi, mais enregistrée dans les conditions du direct ce jeudi, à la même heure. C'est à dire 17h, et pas 15h comme c'est indiqué sur le programme. Heureusement, un sympathique assistant me met au jus, et je pars à la recherche de Laurent, tuer les deux heures d'attente dans l'espace para-bd, à la recherche d'un Bernet inconnu, du premier tome de Marzi, et de Grand reporter d'Altuna.
à 16h30, ça s'active à l'espace du nouveau monde. C'est super drôle de voir comment tout ce petit monde règle en 2 temps 3 mouvements les petits problème techniques, les liaisons avec la suisse, la belgique et le Québec.
Dans l'assistance : Delporte, aux manettes : Hubinon !

France inter est un château hanté.

Les auteurs défilent un peu vite... pas le temps de prendre son temps. Juste le temps de tomber amoureux de Julie Birmant, scénariste de Picasso pour Clément Oubrerie.

Je ne me souvient plus du nom du jeune auteur présent dans la sélection, qui m'a donné envie de lire son livre, dont j'ai oublié le nom... Me reste plus qu'à écouter l'émission (mince, c'est vendredi ou samedi ??).

Margerin arrive et ballade tout ce monde dans les allées... chez Fromental où Aline Crumb dédicace ses gribouillis (oui, mais c'est la femme de Crumb quand même !!). Retour en plateau avec Cosey qui parle avec le bleu dans ses yeux, et Rabagliati, qui ne peut cacher son origine italienne tellement il cause avec les mains le cheum ! J'ai adoré les premiers Paul... je lirai sans doute ce dernier là. J'ai adoré Cosey... un peu moins le retour de Jonathan... mais Cosey : c'est le grand prix de l'année, alors...

C'est fou le nombre de fois qu'on a croisé Alfred (et où Laurent m'a entendu dire "Fred") : on avait ambitionné d'assister à la cérémonie d'ouverture, mais au stand fnac tout pourri comme au théâtre, on s'est foutu de nous. Je ne reviendrais pas sur les sponsors (les supermarchés fnac se fichent de la BD, leur stand ici en est la preuve, et le stand sncf est une farce), mais moi je l'aimais bien MEL. Au moins lui est un passionné. Bref.
Pour finir la journée : l'expo Fred (non ! pas Alfred ! Fred !! Aristide Othon !!!). Des planches, des planches, des planches... mais une petite mise en scène : un extrait d'un tac au tac avec Gotlib, Gébé et Philip, du vrai gazon au sol, des bruitages cheep et agaçants, et ce puit :

Fred est un génie de la narration, un dieu de l'oubapo.

et je n'ai quasiment jamais lu de Philémon !! Honte sur moi !!!

un bonus inutile :

Julie Birmant en abime

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire