Bien avant de craquer entièrement pour Genesis, je suis tombé dans King Crimson. In the court of the crimson king date de 1969, j'étais quasiment pas né mais c'est presque mon 33 tours préféré. Après cet album, je suis passé directement au combo Fripp / Bruford / Levin / Belew, avant de faire un retour vers le passé de ce groupe étonnant, entre prog' et jazz fusion. C'est un des rares groupes dont je possède toute la discographie, et que j'écoute encore totalement.
Pourquoi on cause de ça aujourdhui ? Bin oui : y a pas que la BD dans la vie !
En plus, ce dessin est fantastique : c'est la folie personnifiée de l'homme du XXIè siècle. Cramoisi et schyzophrène ! Il est l’œuvre d'un jeune dessinateur très tôt disparu.
Ah et puis, demain, Robert Fripp (l'axe du groupe mais aussi guitariste chez Bowie, complice de Eno et Summers) a 65 ans.
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