dimanche 10 avril 2011

Chimie & synthèse

De la même façon que pour Barbarella, Epoxy de Cuvelier est en bichromies. Le découpage du livre donne moins de chapitres, donc moins de couleurs... d'autant que les 2 et 3ème se suivent dans le même orange.

Une version recolorisée a vu le jour chez Lefranc en 97. Craenhals (çui des 4 as et de Chevalier ardent) s'y est atelé, et je ne suis pas sûr que le livre gagne en qualité. Mais, que voulez-vous, Casterman a bien recolorisé les Corto !

La version de Lefranc est accompagnée d'un petit livret de 16 pages, qui mérite largement que vous vous procuriez cette version d'Epoxy.
Le bichromie, comme le N&B, rebute les lecteurs... enfin : les foules de lecteurs consommateurs. Chez Losfeld, les couleurs étaient belles et éclatantes. Tiens, dans un autre genre, les couleurs saturées du deuxième Barbarella donnent un résultat fantastique et électrique, comme le Pravda de Pellaert. Mais Losfeld n'a pas fait fortune dans l'édition !

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