samedi 29 mai 2010

Fabrice Tarrin

Léturgie et Tarrin partagent le même univers, la même culture, le même milieu, proche de Yann...

Et comme Simon Léturgie est un Maître du clin d’œil, on en a droit à de très beaux : Violine dans Spoon et White et Monsieur Tue-tout dans Polstar :

Léturgie et Léturgie, Le Monkey

Sur cette case, Simon rappelle étrangement que André n'est pas mort, en arborant un marsupilami... Alors que justement, cet animal, qui a donné un fade éditeur, est le symbole de la fin de Franquin : des histoires indigentes et un rapt dans les aventures de Spirou. Non non : Franquin c'est Gaston, Spirou ou Isabelle, mais pas Le marsupilami. N'en déplaise à Yann et Jean Léturgie, qui ont participé à cette triste aventure.

Hardy enterre le sale gosse du journal Spirou, mais Schwartz le met en tonneau (au même titre que tous les auteurs de Spirou dans son groom vert-de-gris).
Tronchet encadre une œuvre de ses collègues d'atelier (Bravo et Tarrin).

Bon, son Spirou n'est pas un des meilleurs, et ses bouquins animalo-imposturo-Trondheimesque sont très très creux... Il manque une Oeuvre à son oeuvre. Un Bob Marone bien ficelé ? Un Monsieur Tue-tout de plus longue haleine ? Ou alors, soyons fou : demandons l'impossible, un truc nouveau qui ne soit pas une re-sucée des trucs à la mode, du style nombrilo-bloguien-parodico-Trondheimien (outch, ça fait deux fois auj'ourdhui) !

les images en grand :


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