L'hiver dernier, en rentrant du cinoche, je râlais d'avoir raté Rabaté dans Louise Michel (oui car à Utopia, on ne mange pas de pop corn, on a tous éteint le portable, et comme on reste tous dans le noir en silence jusqu'à la fin du générique...jusqu'au laboratoire qui développe le film... j'ai vu que j'avais, bah !, raté Pascal).
J'ai donc pris le DVD et mon écran en photo.
Et Rabaté et au milieu de l'écran, entre les deux personnages principaux. Et Rabaté : que je l'aime ! Comment suis-je passé à travers ? Pourtant, j'ai l’œil.
Rabaté est entre deux films, entre deux BD (l'album grotesque de Prudhomme à venir)...
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