Mauvais garçons tombe au mauvais moment : il arrive après Rébétiko, et vraiment, il ne soufre pas la comparaison ! C'est hyper décevant ! Et puis ça cause flamenco, et c'est horripilant. Mais pour être honnête, en laissant Prudhomme de côté, ce livre est une aventure sympathique, une histoire d'amitié... qui va basculer... Le tome suivant est paru 1 mois plus tard, il est là, à coté de moi... pas encore lu. Le dessin malgré tout manque de finition... Comme quoi, se chercher un style pour se différencier absolument n'est pas toujours de bon aloi.
Montellier ne va pas au fond des damnés de Nanterre. C'est un boulot de journaliste, qui nous remet en mémoire les faits, 10 ans après. Elle ouvre de nouvelles pistes, étrangement laissées de coté... et on n'est pas loin de ces théories du complot, qui m'agacent toujours autant. Chantal Montellier nous laisse avec cette histoire, sans vraiment prendre une position claire... on la devine, mais j'aurai aimé l'entendre. Chris = Chantal non ? Et puis parce que la question qui me trotte dans la tête depuis toujours est jusqu'où peut aller l'engagement d'extrême gauche.
Grâce au bouquin, on peut se faire une autre image de cette damnée, dont les médias se sont emparés comme ils savent si bien mal le faire, et que la justice a sacrifié.
Je n'avais jamais lu de Lucha libre ! Ça a l'air d'être un truc à la mode, alors comme je ne veux pas mourir, idiot, j'ai acheté un n° de cette genre de revue. J'ai eu l'occasion de ne pas apprécier Bill et Gobi dans Tchô ! (c'est illisible !) alors qu'ici, c'est plutôt bien fait. Et puis, on trouve Tanquerelle, qu'est définitivement pas un ersatz de Sfar, et c'est tant mieux, et Witko, qu'est une sorte de Wischluss... et pareil.
Achab est une BD de genre... plutôt : une caricature grossière d'une BD de genre. Le dessinateur n'est pas trop à l'aise avec le style réaliste, et ça pose de gros problèmes de cohérence... Le résultat est maladroit, parfois très très maladroit. Le mode de narration est un peu perturbant (je préfère quand on reste avec le même narrateur).
Le coup de l'unijambiste qui se lève toujours du pied gauche m'a quand même fait sourire.
L'album de Veyron n'est pas la suite de L'amour propre. Le personnage principal y avait les traits de Veyron (un fantasme personnalisé du dessinateur), alors que dans Blessure, c'est Veyron, auteur de L'amour propre. C'est un peu moins bien. Il n'y a pas d'histoire, pas de tension, de montée dramatique... Mais surtout, j'ai bien peur de m'avouer que ce qu'il fait est un peu moins bien depuis quelques années maintenant. Ses Bernard Lhermite, mais surtout son Âge ? moyen ! restent mes petits trésors.
Miss pas touche ? Non non, c'est bon : plus touche. Cette série n'a aucun intérêt.L'album de Veyron n'est pas la suite de L'amour propre. Le personnage principal y avait les traits de Veyron (un fantasme personnalisé du dessinateur), alors que dans Blessure, c'est Veyron, auteur de L'amour propre. C'est un peu moins bien. Il n'y a pas d'histoire, pas de tension, de montée dramatique... Mais surtout, j'ai bien peur de m'avouer que ce qu'il fait est un peu moins bien depuis quelques années maintenant. Ses Bernard Lhermite, mais surtout son Âge ? moyen ! restent mes petits trésors.
Tiens : les chevaliers d'Ythaq non plus. C'est même pire. Rien n'est réussit dans l'histoire d'Arleston : l'intrique, les personnages, les relations qui se tissent... Alors que je suis plutôt amateur du dessin de Floch... A oublier.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire