Corto Maltese est synonyme d'aventurier, comme a su le montrer
Manara, quand il ne faisait pas encore de roman-photo porno.
Il a débuté ses aventures en France dans Pif-gadget (je regrette de ne pas avoir l'image d'
Achille Talon, époque Polite, qui montre une rencontre avec Pratt), mais je l'ai lu dans tintin, un peu plus tard. Où ça ne m'emballait pas... j'étais trop jeune (comme
le petit Christian) !
Maester le représente lorsqu'il se matérialise dans l'univers des 3615 code "rencontres". Où "Corto" est un pseudo facile pour un "aventurier". Meynet met en scène la librairie Raspoutine (le moine de Corto), où le boss a un sweat Corto... Mais je me suis déjà énervé contre les produits dérivés Corto, qui ont détruit le mythe...
Voos parodie les BD en emmenant les héros dans des endroits où ils ne vont jamais (généralement : dans des partouzes). Il emmène Corto sur le chemin de la vénalité... Parce qu'en vrai, l'argent n'intéresse pas Corto... (mais les ayant-droits : si !).
Et je m'aperçois que je n'ai pas parlé du clin de Plessix... (quand est-ce qu'il refera un truc à lui ? Ses
vents m'ennuient tellement !!)
les images en grand :
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