lundi 1 décembre 2008

Morris, crayon de Goscinny

Morris n'est plus ce qu'il était. Il n'est plus d'ailleurs. Et il y a bien longtemps, un premier décembre comme un autre, il voyait le jour.
Comme Uderzo, c'est, pour moi, un simple outil de Goscinny, dessinateur frustré*.

Il a participé à la naissance de la bande dessinée franco-belge, aux cotés de Franquin :

...qui le représente dans une de ses planches. Bravo en fait un clin d’œil poupée russe dans son excellent Spirou.

Walthéry aurait voulu être Tillieux. Il est juste un fainéant de dessinateur, qui a oublié jusqu'à son talent. Ses productions sont misérables. Et en l'entendant , on se rend compte qu'il dit "ils" au lieu de "je" quand il parle de son travail... merci les assistants !
Je suis désolé, mais cette émission est la seule concernant la BD, qui passe sur la télé. Le présentateur est à tuer, oui oui, je sais... Son tutoyage ne passe pas la porte de Walthéry, pan dans les dents ! Le femme de Zep montre ses jambes dans un hamac inconfortable, Maester fait son cabot, les vedettes de la BD font leur show (Rodrigue ? vedette ??)... Et encore, dans cet épisode, on n'a pas droit à la visite chez son ami Maghen, au journaliste (?) Vidal... On se croirait sur TF1 ! 

Les femmes en blanc #8

Un type à noeud pap' ? C'est Morris, forcément !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire