vendredi 8 août 2008

Jeux sans frontières*

En dehors du fait que les organisateurs des JO sont de "gros sales cons" (sagesse Villeretienne du simplet de l'été en pente douce), que l’attitude des sportifs français, la raclure de bidet de Douillet en tête, est intolérable, la compétition est absurde et les JO : un machin a éviter soigneusement.
On améliore les vêtements, les vélos, les palmes, les entrainements, les drogues... on fait comme dans l'élevage : de la sélection animale. Tiens, au basket : on a mis les paniers en hauteur, pour que ça soit haut. Hé bien maintenant, les bons basquetteurs sont grands ! Ils ont dénaturé leur sport sans s'en rendre compte ces imbéciles. M'enfin, s'ils n'étaient pas si bête, ils ne feraient pas de sport...
On va devoir se doter de chronomètre au millième de seconde pour séparer le premier du second à l'arrivée, alors qu'au départ ils sont peut être partis avec un dixième de seconde d'écart...

Ces gentils dessins de Geluck illustrent juste l'absurdité de la compétition. Que tout est relatif.

J'aurai pu mettre aussi l'histoire de Goossens dans Laisse le vent emporter tout, reprise par les nuls à la télé, avec le championnat de "1000 mètres promenade".
Parce que oui : on a le temps ! Marcher, c'est sympa aussi !! Et on n'est pas toujours obligé de tout mesurer, comme des ptits garçons avec leurs ptits zizis...

If looks could kill, they probably will
In games without frontiers-war without tears.
Dressing up in costumes, playing silly games
Hiding out in tree-tops shouting out rude names.

Peter Gabriel, Games without frontiers

*Peter, déjà adepte de la décroissance, avec Big Time, est un ange avec de belles flèches.

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