Autant papa Spirou est un inconnu, autant le petit Spirou a une famille à rallonge (qui remonte même à la préhistoire).
Alors évidemment, on n'est pas dans la super-réalité. Et la Mamy, sur la tombe de qui on va déposer des fleurs en plein #2, réapparait dans le #8... Un vrai poison celle-là !
Bien entendu, les personnages essentiels de cette famille, ce sont la maman (l'autorité) et le Papy (genre de grand frère, entre fossile et chaud lapin).
On apprend dans le #8 que le premier groom de la famille est son arrière grand-père... et que c'est son costume familiale qui devint l'uniforme de tous les grooms du monde.
#8
La famille de Spirou est à rallonge, mais absolument pas construite par les auteurs. La famille est placée dans les angles : du coté des grand-oncles et grand-tantes, de la famille lointaine qu'on ressort des tiroirs quand on veut. Pas implicante, pas primordiale : du décor. Tome et Janry sont ici globalement pour faire des gags et non pas raconter une histoire.
Les albums sont construits d'une étonnante façon : une histoire de 6 / 7 pages suivie de gags indépendants en une planche. Et moi j'ai toujours du mal avec ces gags en une planche, qui ne racontent rien. C'est dans ces histoires un peu longues, qu'a le temps de se développer l'histoire de la famille de Spirou. Elles ne sont pas forcément drôles, mais sont souvent assez émouvantes.
Ils ont montré (dans la grande série) leur coté citoyen en parlant de racisme dans le rayon noir, d'audace en transformant le personnage, en mêlant l'amour à sa vie (à partir de Luna fatale), et en le transformant graphiquement dans Machine qui rêve (Janry dessine alors comme Ralph ou Gazzo !!). Ce #46 lorgne du coté plus adulte, et perd sans doute un peu son lectorat enfantin. C'est le dernier du duo, malheureusement, quand on voit qui a repris la bête (je n'écrirai pas leurs noms, dans la crainte d'attraper un Virus). L'histoire de Spirou est faite de tous ces auteurs qui ont dessiné la série principale. Tome et Janry ont créé ici leur univers à eux, et même si parfois on se mélange avec Titeuf ou Kid Paddle, la série est plutôt agréable, pour les enfants, et plus.
#11
Et je m'aperçois que je n'ai pas parlé de sa tata transsexuelle, pas vraiment de sa famille, il est vrai...
Alors évidemment, on n'est pas dans la super-réalité. Et la Mamy, sur la tombe de qui on va déposer des fleurs en plein #2, réapparait dans le #8... Un vrai poison celle-là !
Bien entendu, les personnages essentiels de cette famille, ce sont la maman (l'autorité) et le Papy (genre de grand frère, entre fossile et chaud lapin).
On apprend dans le #8 que le premier groom de la famille est son arrière grand-père... et que c'est son costume familiale qui devint l'uniforme de tous les grooms du monde.
#8
La famille de Spirou est à rallonge, mais absolument pas construite par les auteurs. La famille est placée dans les angles : du coté des grand-oncles et grand-tantes, de la famille lointaine qu'on ressort des tiroirs quand on veut. Pas implicante, pas primordiale : du décor. Tome et Janry sont ici globalement pour faire des gags et non pas raconter une histoire.
Les albums sont construits d'une étonnante façon : une histoire de 6 / 7 pages suivie de gags indépendants en une planche. Et moi j'ai toujours du mal avec ces gags en une planche, qui ne racontent rien. C'est dans ces histoires un peu longues, qu'a le temps de se développer l'histoire de la famille de Spirou. Elles ne sont pas forcément drôles, mais sont souvent assez émouvantes.
Ils ont montré (dans la grande série) leur coté citoyen en parlant de racisme dans le rayon noir, d'audace en transformant le personnage, en mêlant l'amour à sa vie (à partir de Luna fatale), et en le transformant graphiquement dans Machine qui rêve (Janry dessine alors comme Ralph ou Gazzo !!). Ce #46 lorgne du coté plus adulte, et perd sans doute un peu son lectorat enfantin. C'est le dernier du duo, malheureusement, quand on voit qui a repris la bête (je n'écrirai pas leurs noms, dans la crainte d'attraper un Virus). L'histoire de Spirou est faite de tous ces auteurs qui ont dessiné la série principale. Tome et Janry ont créé ici leur univers à eux, et même si parfois on se mélange avec Titeuf ou Kid Paddle, la série est plutôt agréable, pour les enfants, et plus.
#11
Et je m'aperçois que je n'ai pas parlé de sa tata transsexuelle, pas vraiment de sa famille, il est vrai...
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