Certaines œuvres sont devenues introuvables. Du moins le pensais-je. Ainsi, la réédition en intégrale du cycle Cyrrus-Mil par Delcourt m'a permis d'enfin connaitre le début de Mil, dont je possédais l'album solitaire depuis des années. Ça ne m'a, par contre, pas permis de le comprendre mieux, au contraire. Mais à force de fouiller chez tous les bouquinistes du monde, j'ai enfin trouvé Cyrrus... La version Delcourt m'est donc devenue inutile.
Andréas a retouché Mil dans l'édition de 93 : les scènes contemporaines en noir et blanc sont regroupées en début d'album, alors qu'elles alternaient avec les scènes antiques en couleur (antiques ou futures ??). Je dois dire que ça aide à la lecture... Et vraiment, on a besoin d'être un peu aidé... Les planches 36 et 37 sont délayées pour en donner chacune une nouvelle. Andréas modifie un peu son style, que c'en est étrange, en surlignant de blanc les contours de l'homme en noir (dieu ?).
Andréas a retouché Mil dans l'édition de 93 : les scènes contemporaines en noir et blanc sont regroupées en début d'album, alors qu'elles alternaient avec les scènes antiques en couleur (antiques ou futures ??). Je dois dire que ça aide à la lecture... Et vraiment, on a besoin d'être un peu aidé... Les planches 36 et 37 sont délayées pour en donner chacune une nouvelle. Andréas modifie un peu son style, que c'en est étrange, en surlignant de blanc les contours de l'homme en noir (dieu ?).
Autre récit hermétique d'Andréas :
Malgré tout, avec la clé, cet album devient clair. L'imbrication des rêves (le rêveur rêve qu'il rêve qu'il rêve) et leur floutitude croissante, reliés au réel (le vrai réel), qu'on perçoit au fur et à mesure, donne un récit génial.
Donjon monster a invité coup sur coup Andréas et Blutch !
Suite le 15/06... Demain, retour des clins d'oeil.
*en hommage à Bise-bise de FOREST
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