jeudi 10 avril 2008

Le voleur du voleur de marsupilami

Restons encore dans le zoo.
Je me demande toujours comment on peut se prétendre écolo et aimer les zoo comme Frank (les zoo sont omniprésents dans son œuvre). Et ces deux pseudos-écolo des sculpteurs de lumière qui s'enthousiasment pour cette usine d'ordures ménagères en pleine campagne, donc loin de la source (donc : camions camions camions), et qui ne se posent pas la question d'en réduire la production. Leur pic-nic est d'ailleurs composé de pain sous plastique et de boissons en canette !! Et tout ce petit monde se permet de donner des leçons sur ce qu'est un écolo !!! Waechter reviens ! Dominique présidente !!!

Mais hier était hier et aujourdhu'i est un autre jour !

Si on est au zoo, c'est pour y retrouver un marsupilami qui déprime.
 
Dans le #2 de Ni dieu ni bête, nos deux héros attirés par la société humaine, se retrouvent coincés dans un zoo.

Et ce passant qui traverse cette unique case n'est autre que le voleur du marsupilami, dont on voit la queue sortir du sac.

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