Ça faisait un petit moment qu'on n'y avait pas eu droit : les auto-clins-des-oeils. Les héros que les auteurs ont du mal à lâcher...
Cinémastock part d'une idée typiquement pilotienne : le détournement, la parodie de film. Sauf qu'ici, Alexis et Gotlib détournent surtout des romans classiques (Notre Dame de Paris, Les malheurs de Sophie...). Coté ciné en stock, on a quand même droit à des fondus-enchainés de la mort, à une succession de cadrages aboutissant à une page étonnante... bref, des expérimentations rigolotes...
Dans le #1, dans un coin d'une case représentant une sacrée bataille, on retrouve deux des personnages d'Alexis (Ils voyagent dans le temps pour de l'argent avec Fred).
Un peu plus loin, on retrouve quasimodo, en train de se donner du plaisir (en admirant la belle Esmeralda). Et Gotlib lui fait dire sa fameuse réplique, tirée d'une de ses séries à lui.
La silhouette qui met des plombes à arriver s'avère être un héros d'Alexis. Alors que bien entendu on attendait John Steed !
Cinémastock part d'une idée typiquement pilotienne : le détournement, la parodie de film. Sauf qu'ici, Alexis et Gotlib détournent surtout des romans classiques (Notre Dame de Paris, Les malheurs de Sophie...). Coté ciné en stock, on a quand même droit à des fondus-enchainés de la mort, à une succession de cadrages aboutissant à une page étonnante... bref, des expérimentations rigolotes...
Dans le #1, dans un coin d'une case représentant une sacrée bataille, on retrouve deux des personnages d'Alexis (Ils voyagent dans le temps pour de l'argent avec Fred).
Un peu plus loin, on retrouve quasimodo, en train de se donner du plaisir (en admirant la belle Esmeralda). Et Gotlib lui fait dire sa fameuse réplique, tirée d'une de ses séries à lui.
La silhouette qui met des plombes à arriver s'avère être un héros d'Alexis. Alors que bien entendu on attendait John Steed !
Alexis est mort décidément bien trop tôt.
Et Pilote aussi.
Cauvin ? Non.
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